
Ce qu'il a eu le plus de mal à accepter est le fait que pendant qu'il gaspillait tous ses dimanches au temple mormon, je faisais du ski, du VTT ou je tondais ma pelouse ! Je l'ai supplié de se reprendre un peu et, me sentant un tantinet coupable - comme toujours, je me suis même excusé d'entacher son séjour céleste par ma simple présence.
J'en ai sans doute fait un peu trop quand je lui ais promis de demander mon transfert si je n'aimait pas assez bien le paradis, pour aller sur l'enfer où d’après ce que l'on m'a dit, on y rigole quand même plus.