Je n’avais pas réalisé à quel point la pression pour le voilement des femmes s’exerçait via les réseaux sociaux, à travers des images comme celle-ci. Si on analyse le message, on se rend compte qu’il va très loin : si une fille est victime d’un viol collectif, c’est entièrement de sa faute, comme le montre ce dessin explicite. Viol, voile, je n’avais jamais remarqué l’anagramme entre ces deux mots.