
Il y donne la liste d'une série de villes en Irlande, au Royaume-Uni et aux États-Unis où les véhicules circuleront durant la deuxième quinzaine de juin.
Son rival Google utilise depuis plusieurs années cette méthode, qui sert notamment à alimenter la base d'images de Street View, son outil permettant de faire des visites virtuelles.
Street View s'est retrouvé au fil des années au centre de nombreuses polémiques, notamment en Europe, accusé de collecter illégalement des données privées ou de mal les protéger. Apple tente d'anticiper des difficultés similaires en affichant son engagement à «protéger votre vie privée en collectant ces données». Il explique par exemple qu'il floutera les visages et les plaques d'immatriculation sur les images avant de les publier, des mesures déjà prises par Google.
Lors de sa conférence pour les développeurs organisée cette semaine à San Francisco, le groupe a encore promis des améliorations d'Apple Maps, notamment pour ajouter des informations sur les transports publics ou les commerces aux alentours, ainsi qu'une intégration avec l'assistant vocal Siri.