Le piètre scénario de Jurassic World n’aura pas empêché une ruée mondiale pour aller voir l’Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing.
Cette grosse bébête viendra semer la terreur dans le fameux parc d’attraction… qui est, enfin ouvert et accueille pour l’occasion plus de 20 000 guests ! Si en 1993 le parc était en construction, en 97 et en 01 l’aventure se déroulait sur une île voisine. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady (joué par Chris Pratt) et Claire Dearing (Bryce Dallas Howard). Inutile de vous dire qu’une idylle – épouvantablement téléphonée – naîtra entre les deux.
Notez que Chris Pratt, l’homme à la cool attitude qui n’a peur de rien, fut terrifié lorsqu’il a été piégé par Sylwester Wardega, un YouTuber polonais qui s’est fait connaître notamment avec la vidéo de l’araignée-chien. Regardez :
Quoiqu’il en soit, Jurassic World réalise le 2e meilleur démarrage de tous les temps du box-office américain avec 204,6 M$ engrangés en un week-end mais le meilleur au niveau mondial avec 511,8 M$ dont plus de 100 millions en Chine, selon le site Boxofficemojo.com.
En comparaison, le premier volet imaginé par Steven Spielberg, Jurassic Park (1993), avait récolté 50,1 M$. Le monde perdu : Jurassic Park (1997) : 90,2 M$. Et Jurassic Park III (2001) : 50,7 M$.
Notons, enfin, que le réalisateur n’avait que Safety Not Guarantee, un petit film indépendant à son actif. Avec un tel raz-de-marée, Colin est rempli d’idées pour la suite… et les oeufs sauvés in extrémis pourront peupler la terre pour la faire revenir à l’ère jurassique.
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