Rien ne se possède si ce n’est cette intime vérité,
En ce coeur qui nous rend conscience,
Pour cet amour qui connaît notre éternité,
Au-delà de ces jours rien ne se possède,
Que la science de toute une expérience,
Plus près du divin toujours,
Mais combien de vies encore pour ignorer l’espérance,
Pour sans elle avancer vers notre gloire,
Sans autre souci d’une quelconque possession,
Pour vivre enfin pour le seul intérêt de notre perpétuel bonheur.