La sixième extinction de masse bat son plein, dit Le Monde. Elle est causée par l'homme. Elle semble surtout aller particulièrement vite. On parle d'années, alors que ces prédécesseurs avaient demandé des millions d'années. Apparemment, l'homme serait le prochain sur la liste.
Ce qui m'a rappelé ce que dit Nassim Taleb : l'espérance de vie d'une espèce est fonction de son ancienneté. Plus elle est récente, plus elle est fragile.
Comment réagissons-nous ? On essaie de sauver ce qui peut l'être. Mais, curieusement, on ne se demande pas ce qui, dans notre action, produit cette hécatombe. Cela semble être la modification des conditions de vie... Peut-être que si nous parvenions à comprendre comment les faire évoluer sans les détruire, nous résoudrions la question de la survie de notre propre espèce ?