Un négociateur grec s’effondre dans un canapé, exaspéré. Si hier, pour un produit alimentaire les institutions semblaient se contenter d’une TVA haussée à 13 %, aujourd’hui elle doit être à 23 %. L’économiste et prix Nobel Paul Krugman lui donne raison : aucune concession ne semble suffisante aux institutions créancières (le FMI, la Banque centrale européenne et la Commission européenne). A chaque concession grecque, elles poussent plus loin. Derrière cette stratégie se cache la volonté d’en finir avec ce qui doit devenir « une parenthèse de gauche » et de renverser le gouvernement grec.
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Grèce : l'Union européenne et le FMI poussent à un « Syrizexit »
Publié le 27 juin 2015 par Blanchemanche
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Un négociateur grec s’effondre dans un canapé, exaspéré. Si hier, pour un produit alimentaire les institutions semblaient se contenter d’une TVA haussée à 13 %, aujourd’hui elle doit être à 23 %. L’économiste et prix Nobel Paul Krugman lui donne raison : aucune concession ne semble suffisante aux institutions créancières (le FMI, la Banque centrale européenne et la Commission européenne). A chaque concession grecque, elles poussent plus loin. Derrière cette stratégie se cache la volonté d’en finir avec ce qui doit devenir « une parenthèse de gauche » et de renverser le gouvernement grec.
Un négociateur grec s’effondre dans un canapé, exaspéré. Si hier, pour un produit alimentaire les institutions semblaient se contenter d’une TVA haussée à 13 %, aujourd’hui elle doit être à 23 %. L’économiste et prix Nobel Paul Krugman lui donne raison : aucune concession ne semble suffisante aux institutions créancières (le FMI, la Banque centrale européenne et la Commission européenne). A chaque concession grecque, elles poussent plus loin. Derrière cette stratégie se cache la volonté d’en finir avec ce qui doit devenir « une parenthèse de gauche » et de renverser le gouvernement grec.