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Ce qui nous pend au nez...après la Grèce

Publié le 13 juillet 2015 par Micheltabanou
C'était en avril dernier quand le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble entamait son marathon pour se répandre en propos outranciers qui révèlent sa nature ultra-libérale c'est à dire austéritaire pour qui résiste à sa politique économique. Il avait déclaré dans le cadre d'un débat public à Washington que "la France serait contente que quelqu'un force le Parlement" à voter de dures réformes!
Et de poursuivre sur le ton de la confidence que "La France serait contente que quelqu'un force le Parlement, mais c'est difficile, c'est la démocratie"
Il en voulait pour preuve pour nous convaincre que "Si vous en parlez avec mes amis français, que ce soit (le ministre des Finances) Michel Sapin ou (de l'Economie) Emmanuel Macron, ils ont de longues histoires à raconter sur la difficulté à convaincre l'opinion publique et le Parlement de la nécessité de réformes du marché du travail".
Depuis les mois ont passé avec toujours dans l'ombre du dossier grec ce sournois social libéral pour dezinguer les résistances, les démocraties.
Et d'aucun parlent d'une victoire de Hollande sur le dossier grec avec une Allemagne qui a lâché du l'est. Mais ce type est omniprésent et sa nocivité va s'accroître. Et demain cela sera comme pour les horreurs allemandes de la deuxième guerre mondiale ou tout avait été dit à l'avance et quiconque de sérieux ne pourra en lisant, en écoutant notre bon Wolfgang, dire qu'il ne savait pas à l'heure prochaine où cet individu mettra à exécution ses plans d'assainissement économique de la France.

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