Voilà une poésie d'été, fraiche comme une brume,
Douce comme une dune, une brise volante.
Contre les pierres qui râlent et la poussière qui fume,
La chaleur n'est qu'une trace de nos étoiles filantes.
Les cris incessants des cigales endort la lune.
La langue du soleil te brule la cornée souffrante.
Il suffirait d'une poésie d'été, fraiche comme une brume,
Douce comme une dune, une brise volante,
Comme une caresse dans les cheveux d'une brune.
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