c'est le mien.
J'ai commencé le mois dernier à enlever le sucre de mon alimentation pour me sentir simplement mieux, et puis j'ai pris conscience du mieux-être que je ressentais alors je me suis dit que c'était vraiment idiot de ne pas profiter de cet élan pour entamer un vrai régime.
A un rythme régulier malgré mes frayeurs, je m'allège régulièrement (une moyenne d'un kilo par semaine) et je ne me sens pas en période de privation : je tartine toujours mon pain (devenu complet) de beurre demi-sel de ferme mais je bois un verre d'eau tiède et de citron pressé avec une larme de miel au préalable.
Le midi c'est féculents, viande et légumes, le goûter quand j'ai faim, se compose d'un fruit et de quelques carrés de chocolat noir et enfin au dîner la salade est au menu, avec un peu de féculents ou poissons/fruits de mer. Mes assiettes sont bien pleines car je ne supporte pas avoir faim.
Je n'ai plus envie de repas plus gras ou avec davantage de féculents (ça m'a rendue presque malade à trois reprises), je m'autorise à craquer pour un bon gâteau à condition qu'il en vaille vraiment la peine (et en presque un mois, il n'y en a eu aucun !). Bon ok je me préserve des tentations.
Dans la journée je bois beaucoup d'eau et surtout, surtout j'ai repris le sport de manière plus régulière que la séance hebdomadaire de gym ; j'essaie de maintenir le rythme de 3 séances par semaine, nageant un kilomètre de brasse ou en pratiquant l'aquabike (qui m'a tué).
Je me sens bien. Je me sens mieux. J'ai envie que ça dure, de perdre encore 20 kilos, d''acquérir des habitudes alimentaires, mieux : une autre façon de vivre (manger plus sainement, équilibré et pratiquer régulièrement - 2 à 3 fois par semaine - du sport).
A l'heure où les Blonds s'assagissent et deviennent plus autonomes, à la veille des mes 40 ans, force est de constater qu'il se passe quelque chose entre mon corps et moi, entre ma façon d'être et moi. Je me souviens d'un post, il y a quelques années sans doute, où je me désolais d'avoir passé la moitié de ma vie de femme à me détester/me cacher.