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C'est notre papa à tous, d'après une certaine religion assez m'as tu vu, théâtrale faiseuse d'histoires. Parce qu'entre nous, tous ces personnages incongrus, farfelus sortis des hostoires d'enfances de la Bible, c'est pittoresque, voire picaresque. Une sorte de frise à l'eau de rose qu'un scénariste spielbergien a fait passer pour le chef d'œuvre ultime. Bref, c'est des histoires, du storytelling à dormir debout. Alors autant adapter, comme ici, réincarner les perso comme font nos metteurs en scène d'avant garde. Adam en gay, c'est malin ! Et cette blondasse de Eve, à peine tombée de l'avion médusant de Lost sera une dégénérée, en ce sens qu'elle n'aura point de mari si ce n'est le faux frère : Caïn. Bref, la Bible, c'est le feux de l'amour. Kif. De la bimbeloterie pour niais, du ramassis de people qui, non seulement propagent des idéaux communistes, prétendent sauver notre existence de je ne sais quel pêcher d'exister ; come si ce n'était pas assez difficile come ça : et d'exister et de croire en toutes ces fadaises. Dieu reconnaîtra les siens. Les athées sont bel et bien le sel de la Terre. j'en suis heureux. Fier aussi !