- Le moteur de recherche. Il apparaît que la motivation nécessaire pour mener à bien ce projet ne peut qu'être privée. C'est probablement ce que les Chinois ont pensé. Cela nous éviterait un nouveau "champion national" ou européen, Bull ou autre catastrophe.
- Le paramétrage de l'algorithme de recherche. Lui, semble devoir faire appel à une sorte de mécanisme politique, qui permette de respecter les règles locales. En Chine, le PC impose sa loi. Aux USA, la NSA aurait aussi des relations intimes avec les entreprises du pays. En Europe, les usages sont différents. Un processus démocratique, peut-être lié au parlement européen, pourrait être responsable de cette partie du dispositif.
Le problème restant serait Google. La solution chinoise, l'interdire, n'est pas possible en Europe. Une façon d'éliminer Google, à l'européenne, serait de donner au nouvel entrant un avantage unique. Dans ce cas, Google pourrait répondre à l'appel d'offres. Une condition nécessaire serait probablement que ses opérations soient européennes, afin, qu'au moins, Google paie ses impôts en Europe, et emploie des Européens.