Non, Monsieur Lemerre (ici), ce serait justement une catastrophe…sportive certes, mais aux répercussions sociales et politiques inattendues et démesurées. Dans un pays, « où l’on vit foot, on dort foot, on respire foot », et surtout où la liberté d’expression semble exclusivement circonscrite au ballon rond, les stades restent les seules arènes où se déchainent les passions, où s’expriment les catharsis sociales.
Le foot n’est-il pas la dernière soupape du régime tunisien?