la cambadélisation (même pas) larvée du Parti Socialiste

L’immonde a encore frappé. ça lui fera les pieds, répondons lui sur le même ton méprisable et méprisant qu’il prend pour parler de ceux qui à gauche se refusent à manger sa soupe froide et sale à l’euro-libéralisme orthodoxe. Et donc, voilà des gens qui utilisent le nom d’une personnalité de gauche comme si c’était une insulte, y accolant un adjectif plus que péjoratif, détestable, et il faudrait que l’on se taise devant tant d’abjection ? Il suffira pour remettre l’arrogant à sa place (les cabinets) de rappeler un simple fait. Car nous jugeons les gens aux actes, pas aux discours, fussent-ils brillants ce qui n’est en l’espèce pas tout à fait le cas me semble-t-il. Pour quelqu’un qui se la joue dragée haute et sourire narquois, avoir réussi l’exploit très actuel d’optimiser les coûts de son université d’été davantage que ne l’aurait fait le Medef, voilà qui dit assez l’état de délabrement idéologique d’un parti déjà fort macronisé, sans vouloir tout à fait se l’avouer… puisque cette vieille gloire socialiste est déjà une danseuse honteuse qu’on n’ose plus inviter. (Ben alors, Camba, mon  gars, faut assumer son grand écart libéral….).