Ces derniers mois, l'organisation islamiste a attaqué, détruit de nombreuses pièces et monuments historiques inscrit à l'UNESCO. De nombreux historiens et chercheurs essaient de trouver une alternative à cette destruction.
L'impressions au secour du patrimoine mondial.
À San Francisco, une jeune artiste essaie de lutter contre la destruction massive d'anciens artefacts. En utilisant les technologies d'impression, l'artiste tente de reproduire les pièces détruites. Le but est de les recréer le plus précisément possible.
Les statues ainsi recrées avec les imprimantes, contiennent à l'intérieur des plans, mais aussi l'histoire des pièces originales.
Associer caméra et imprimante 3D.
Un premier projet issu d'une équipe d'archéologues de l'Institut numérique d'archéologie basée à Oxford a lancé un projet pour préserver les reliques et les sites archéologiques du Moyen-Orient. Les scientifiques pensent pouvoir reconstruire les objets détruits avec les nouvelles technologies d'impressions.
Ce projet se base principalement sur les volontaires présents près des sites, et cela en inondant le pays de caméra 3D " low-cost ". Ils ont pour objectif de sauvegarder et uploader pour que les internautes du monde entier puissent aider à préserver les artefacts.
Des caméras vont être distribuées dès le mois prochain via l'institut en Irak. Cette action à aussi pour but de s'étendre aux autres pays sous le joug de Daesh comme le Yémen, l'Afghanistan, la Libye ou encore la Turquie.
Tous ceci pour obtenir ce type de résultat :
" Palmyre est rapidement devenu le symbole de la culture iconoclaste de l'organisation islamiste " confie, Roger Michel, responsable de ce projet. " Si l'organisation Islamiste réussit à faire table rase et à réécrire l'histoire de la région, nous souffrirons tous d'une défaite coûteuse et irréversible. Mais il y a de l'espoir. En consignant l'enregistrement de notre passé dans le monde numérique, il reste à tout jamais hors de portée des vandales et des terroristes. "
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble