Quand on est enfant ou ado, on attend généralement le cours de sport avec impatience. Déjà parce qu'en sport on n'a jamais de devoirs, et ensuite parce qu'en sport on peut se défouler pendant une heure ou deux.
Mais bon, le sport, c'est aussi un domaine riche en moments de solitude bien honteux...La preuve avec ces 10 moments gênants qu'on a toutes vécus en sport à l'école !
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Le cours de piscine qui tombe...mal
Devoir aller à la piscine avec l'école quand on est ado, c'est une vraie torture : on n'est pas hyper à l'aise avec notre corps, qui sera évidemment inspecté à la loupe par tous les garçons de la classe. L'horreur ! Le pire : quand notre cours de piscine tombe pile poil pendant notre cycle menstruel, et qu'on doit aller l'annoncer à notre vieux prof de sport misogyne...
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Le prof de sport qui tombe mal (lui aussi)
Youhou, aujourd'hui en sport c'est athlétisme ! Ce qui signifie : un grand stade, et un prof qui va nous laisser courir sans trop prêter attention. C'est le moment préféré des apprentis rebelles, qui en profitent pour s'éclipser pour aller se fumer quelques clopes derrière un muret. Mais juste au moment où on était en train de raconter une anecdote hilarante, on voit nos copains devenir tout blancs...on se retourne, et on tombe nez à nez avec le prof. Oups !
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Le ballon qui tombe et qui fait mal (encore une fois!)
Ça, c'est un grand classique des moments honteux de notre enfance : celui où on rêvassait tranquillement en plein cours de sport, mais qu'on a été ramenée à la réalité par un ballon (de foot, de volley, de basket, de handball...) qui nous est arrivé tout droit en pleine tête. Merci pour retrouver de la crédibilité dans la cours de récré après ça...
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Être choisie la dernière dans l'équipe
Quand on n'est pas super-forte en sport, il y a un moment hyper-gênant que l'on redoute toujours : celui où le prof désigne deux capitaines qui vont devoir chacun choisir leur équipe. Et la, on voit tous les gens de notre classe se faire appeler, tandis que notre prénom n'arrive...qu'à la toute toute fin. Et en plus, le capitaine qui est obligé de nous prendre dans son équipe a l'air hyper dégoûté. Bon, c'est parti pour des années de manque de confiance en soi !
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Le caleçon de gym qui craque
Le caleçon de sport qui craque, c'est un moment trop gênant et trop honteux quel que soit notre âge. Mais quand on a 13 ans et qu'on a eu le malheur de mettre en dessous une petite culotte Snoopy rose, on peut être sure que notre surnom ne va pas changer durant toutes nos années collège...
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Le vertige pendant l'escalade
Faire de l'escalade en sport avec l'école, c'est pas mal. Enfin, sauf si on a le vertige. Et qu'on n'a pas osé le dire au prof pour ne pas passer pour une poule mouillée. Dans ce cas, on risque de se retrouver au sommet du mur, paralysée par la peur, à pleurer et appeler notre maman sans oser regarder en bas, et à devoir attendre que le prof vienne nous chercher. Pas top !
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Tomber à l'eau en cours d'aviron
Les sports d'eau, c'est toujours sympa quand on est jeune : ça nous fait prendre l'air, et sortir de l'enceinte du collège. Mais bon, si on a deux mains et deux pieds gauches, on risque de tomber à l'eau...Et s'il n'y a pas de douches au club d'aviron local, on va dégager un doux fumet pestilentiel toute la journée !
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Les garçons qui matent quand on se déshabille
Ha, les vestiaires féminins, ça a toujours attiré les petits garçons (voire les plus grands!) comme des aimants ! On avait beau râler auprès du prof et essayer de boucher la serrure, il y avait toujours un petit malin pour jeter un œil, et pile poil au moment où on passait en petite tenue devant la porte ! Grrr.
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Les garçons qui jouent sans pitié
Faire jouer les filles et les garçons ensemble au sport, quelle belle preuve de parité et d'égalité à l'école. Sauf qu'au foot, les garçons jouaient toujours exactement de la même manière contre des garçons que contre des filles : coups de coudes, de pieds, tacles par derrière, et tirs de bourrins quand on était au but. Ouille...
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« J'ai oublié mes affaires de sport »
« Msieur jpeux pas faire basket, j'ai oublié mes affaires de sport chez moi » : ça, c'était la phrase qui était censée marcher et nous garantir d'aller tranquillement en perm' pendant que les autres allaient faire une course d'orientation dehors. Enfin...sauf quand on tombait sur un prof retors, qui nous forçait à faire cours quand même, à transpirer et à abîmer nos jolis vêtements de ville. C'est maman qui était contente le soir quand elle nous voyait arriver...
Alissa Brissat