Chacun abrite sa peau.
Chacun défend son coin d'Histoire
qui grimpe aux rideaux,
qu'a plus peur du noir...
Et c'est marre.
Exister
dans la multitude:
C'est rude
mais faut bien y croire
avec l'aide de ses pires ennemis
religions et partis-pris
dans le même lit
et ses éternels ressorts
illustration source Toile
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"De Creys Malville à Sivens"
Les pieds sur terre de Sonia Kronlund sur France Culture
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Gros plan sur "togne"
grosse nigaude
tombée pour la gloire
de nos assiettes.
Des prunes fundis
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illustration Source
"Le masque à gaz, un objet de notre temps"
Petite fiche technique.
« Le maintien de l’ordre, comme tout milieu, connaît ses modes ; et la mode est au gazage massif. »
Nous fêtons cette année le centenaire de la production industrielle de masques à gaz. Avant cela, la meilleure méthode pour survivre aux gazages était de protéger sa peau et ses orifices par des bandes de tissus imbibées d’urine. Le 22 avril 1915, les troupes allemandes alignent plus de 5 000 cartouches de gaz moutarde qui, poussé par le vent, ouvre une percée de 8 km dans les lignes alliées. La débandade des troupes alliées reste dans les mémoires ; quelques mois plus tard, le masque à gaz vient compléter l’équipement réglementaire du soldat. Symbole tout à la fois de l’horreur des tranchées et de la paranoïa des citoyens de guerre froide, qui pensaient survivre grâce à lui aux pluies de particules radioactives, le masque à gaz est encore, un siècle plus tard, un outil d’actualité..../..."
la suite de l'article chez: LUNDI MATIN
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" Passe le bac d'abord"
Expression estuairienne tombée en désuétude