Valérie Trierveiler, l’ancienne compagne du Président de la République, à qui j’avais consacré un billet au moment de la parution de son ouvrage (qui restera probablement gravé dans la mémoire des journalistes médiocres en mal d’inspiration pour leurs titres foireux), vient d’être mise en garde à vue dans le cadre d’une enquête à propos d’un chantage à la sex tape visant le président de la république française. Ce dernier, refusant de payer une somme exorbitante (sic) pour qu’on ne révèle pas qu’il avait un micro pénis, de surcroît bien peu érectile, a en effet préféré, assez courageusement d’ailleurs, saisir la justice en référé afin de faire cesser cette manœuvre dilatoire destinée à lui faire perdre tous ses moyens, et remettre en cause la stabilité et la sureté de l’État. S’il s’avérait que Madame Trierveiler en était l’instigatrice, elle pourrait encourir jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende selon le code pénal. L’Élysée, interrogé par l’AFP, n’a pas voulu confirmer cette information ¹.
¹ Une information qui va donc inaugurer cette nouvelle série de billets façon Gorafi à ma sauce personnelle, afin de tester le sens critique de mes lecteurs, histoire de voir dans quelle mesure un si humble blogueur inconnu du grand public peut éventuellement prendre en ses filets une belle prise, comme mes homologues de Tomimag avec cette tête creuse de Collard… ;). Comme ce serait jubilatoire ! Mais pour l’instant, je veux bien en attraper également de moins connus ! Il faut bien commencer un jour… Alors, si dans le cas présent, la chose était trop grosse (re-sic), je réclame votre indulgence, n’oubliez pas que j’en suis à mon coup d’essai.