Publié le 04/11/2015 par F. J.
L'unité angloye attend les conclusion de la réflexion autour de l'éventuelle fermeture de quatre stations côtières
Nathalie Caill-Milly , responsable du laboratoire angloy (à droite) peut notamment compter sur le soutien de la directrice de l'UFR, Noëlle Bru© ARCHIVES ÉRIC BECQUET
La réflexion lancée en juin par l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) laisse toujours le laboratoire angloy dans l'expectative, cinq mois plus tard.
Quatre unités menacées
Implantée à l'UFR Sciences et techniques Côte basque, avec qui il a tissé des liens pour l'enseignement et la recherche, cette unité est menacée de fermeture, au même titre que celle de L'Houmeau (à côté de la Rochelle), La Trinité et Dinard.Elle est rattachée au centre régional Atlantique, où Mathieu Doray, délégué syndical CGT, reste attentif à l'évolution de la situation.Quotidien difficile
"Nous restons entre deux eaux. La direction avait parlé de conclusions d'ici à la fin de l'année et il semble qu'elle a repoussé cette échéance à février 2016. Ce qui rend le quotidien des agents difficiles. On nous parle de masse critique en sous-entendant que, pour Anglet, ils sont assez voire trop nombreux pour leur mission. Mais cela ne pose aucun problème ailleurs."
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