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Brooklyn (Ciné)

Publié le 15 novembre 2015 par Bigreblog

Hello les Bigronautes!!!

Je vous reviens aujourd’hui avec une review de film, parce que why not? Même si j’ai perdu tout espoir de terminer mon Défi des 100 films, j’essaie quand même de m’éduquer… :P

Et je me suis éduquée cette semaine en allant voir l’adaptation cinématographique d’un roman qui m’avait marquée et que j’ai même cité plusieurs fois dans des tags livresques.

Brooklyn, de Colm Toíbín. En gros, un classique de la littérature irlandaise. ;)

Pas de spoilers!

Eilis Lacey émigre aux USA, tentée par les promesses du pays. Mais arrivée à Brooklyn, elle est vite sujette au mal du pays, et se sent déchirée entre deux pays, et deux foyers…

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Lorsque j’avais lu le roman la première fois, j’avais été frappée par le fait qu’il était quand même pas mal déprimant, Eilis étant looooooin d’être le personnage le plus tripant de l’Histoire… Le mal du pays, le mal-être en général, ce n’est pas vraiment le kif, et en effet Toíbín arrive à le faire passer si bien qu’on se sent méga mal rien qu’à lire.

C’est probablement le plus grand regret que j’ai après visionnage du film, c’est qu’il n’est pas aussi prenant que son analogue littéraire. En fait il est même plutôt joyeux en comparaison…

(Oui je me plains qu’un film soit joyeux. :P )

Par contre, au niveau du casting, je suis joie et délectation.

Saoirse Ronan (prononcer « Sercha ») est vraiment une gamine qui a du talent. Je l’ai vue dans quasi tous ses films et elle grandit pour devenir une réelle actrice à Oscars. D’ailleurs l’Irlande s’enflamme déjà. ;) Elle incarne bien évidemment Eilis.

Emory Cohen incarne lui Tony, l’amoureux d’Eilis à Brooklyn. Il est d’une fraicheur toute mignonne et j’aimais déjà beaucoup son humour dans le livre donc j’ai été servie. :)

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Domnhall Gleeson chéri incarne, lui, Jim Farrell, et je ne dirai rien sur ce personnage d’autre que « Il est trop canooooooon! » parce que c’est la vérité et puis c’est tout.

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Parmi les autres, j’épinglerai Madame Julie Walters, impayable comme toujours; Jim Broadbent, excellent; ou encore Emily Bett-Rickards, aka notre Felicity Smoak préférée auquel le look fifties sied franchement bien. :)

En bref, je suis un peu déçue par l’ambiance trop joyeuse du film, mais je le recommande quand même très chaudement à tous ceux et celles qui aiment les romances mignonnes et l’ambiance d’autrefois. :D

Note: 7,5/10 (scénario: 7/10jeu: 9/10BO: 7/10adaptation: 7/10)

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