Alexandrine Dhainaut, résidente arts visuels, est commissaire de l’exposition Secondes vies. Métamorphoses du matériel sportif , présentée du 12 novembre au 3 décembre dans les espaces d’exposition du Ministère de la Culture et de la Communication.
ALEXANDRINE DHAINAUT
EXPOSITION SECONDES VIES. MÉTAMORPHOSES DU MATÉRIEL SPORTIF
Du 12 novembre au 3 décembre
Cette exposition réunit des objets créés par les acteurs du monde du sport, (fédérations, fabricants, pratiquants, distributeurs) et des œuvres originales conçues spécialement pour l’exposition par des artistes et des designers à partir de la récupération de matériels sportifs déjà utilisés.
L’exposition souhaite aujourd’hui sensibiliser le public aux enjeux d’une production et d’une consommation soutenables, dans une scénographie elle-même réalisée à partir de matériaux recyclés. En intégrant pleinement le principe de l’économie circulaire, l’exposition imagine pour des matériels usagés une nouvelle vie, fondée sur la valeur usuelle et émotionnelle.
Entrée libre
ACCÈS
Ministère de la Culture et de la Communication
3 Rue de Valois
75001 Paris
BÉNÉDICTE LE LAY
CRÉATION - SI CAMILLE AVAIT DANSÉ
25 novembre à 20h30 - Le Vent Se Lève !
Dans le cadre du festival Rien sur nous sans nous, Bénédicte Le Lay présentera Si Camille avait dansé, un spectacle théâtre-danse, jouant et dansant la vie de Camille Claudel.
TARIFS
10€
Réservations au 01 77 35 94 36
Plus d’infos
ACCÈS
LE VENT SE LÈVE !
181 avenue Jean Jaurès
75019 Paris
YASMINE HUGONNET
CRÉATION - LE RÉCITAL DES POSTURES
du 2 au 6 décembre 2015 - ADC-Genève / SUISSE
« Le récital est une forme de concert pour un instrument : ici il s’agit d’un corps, dont la soliste exécute les postures selon une partition de notes suspendues dans le silence, méditatives. Autant de poses tenues alors que le mouvement circule dans l’imaginaire du spectateur... Le corps expose ses simples mystères avec une fertile puissance d’évocation. Le caractère très graphique de l’ensemble, le travail sur la silhouette, l’humour de Yasmine Hugonnet font écho à la matérialité de la présence : muscles déliés, tête effacée dans le sol, renversements, chevelure multi-fonctions... Epinglé dans la blancheur de la scène, le corps s’affirme et se fait oublier, jusqu’à ce que la voix lui vienne et nous parle de l’intérieur de la peau… »
[Patrick Bonté, Director, Brigittines International Festival]
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