Normal pour une organisation communiste révolutionnaire (pardon pour le pléonasme). La Ligue communiste révolutionnaire a en effet condamné non pas la brigadiste rouge italienne Marina Petrellala, ayant du sang sur les mains et ne le regrettant point, mais la décision du gouvernement française de signer le décret d'extradition vers l'Italie.
Marina Petrellala, actuellement écrouée en France, a été condamnée en Italie à la réclusion criminelle à perpétuité en 1992 pour avoir tué un commissaire de police et grièvement blessé son chauffeur, à Rome en 1981, ainsi que pour séquestration d'un magistrat, vol avec arme et attentats.
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