Magazine
Olivier s'était interrogé autrefois sur les raisons de la graphie pluvalue par Daniel Schneidermann et, en fait, c'était une manière de traiter par la dérision une expression chère à un grand patron de presse trop tôt disparu : Jean-Marie Colombani. Dans le même registre, Schneidermann a épinglé son ennemi Paul Amar avec son lémédias. Aujourd'hui, il récidive et fait preuve surtout de mauvais esprit patriotique envers lébleus célébrés pourtant par tous les honnêtes journalistes sportifs qui se respectent. Le procédé de l'agglutination pour montrer un faux respect avait été employé autrefois par le Canard au sujet de Mongénéral. (Vous savez lequel, il n'y en eut jamais qu'un seul...) Expression qui se trouve sans doute à l'origine de celle de Monmari, reprise…