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Mozart in the Jungle (TV)

Publié le 08 janvier 2016 par Bigreblog

Hello les gens!

Cette semaine je vais zapper le TFSA pour raisons de manque d’inspi. Mais pour garder intacte la tradition de parler de séries le vendredi, me revoilà avec une nouvelle série dont j’ai tout simplement dévoré la première saison.

Tatie Tequi l’avait présentée sur son blog en son temps, et je me l’étais gardée au chaud pour le Challenge 2016. En un sens, j’ai bien fait. Mais sinon, j’ai été la pire des connes.

Parce que Mozart in the Jungle aura été une révélation et un total coup de cœur, et qu’il faut que je sorte toutes ces émotions de mon putain de corps…

Pas de spoilers à l’horizon!!!

L’orchestre philharmonique de New-York s’apprête à connaitre un changement radical. Son maitre d’orchestre, Thomas Pembridge, part en retraite anticipée, poussé à la porte par un comité en manque de fraicheur. Cette fraicheur s’incarne dans le nouveau maestro, l’exubérant mais talentueux Rodrigo de Sousa. Dans le même temps, la jeune Hailey Rutledge ne rêve que d’une chose: emmener son hautbois dans l’orchestre…

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Quand j’ai vu la bande-annonce sur le blog de Tequi, une chose m’a frappé directement: le respect pour la musique classique, pourtant trop délaissée par les nouvelles générations qui trouvent ça nul et ringard.

Je suis musicienne, et si cela a influencé mon visionnage (sans aucun doute ça l’a fait), ça ne peut changer le fait que MitJ est extrêmement respectueux des grands maestri et compositeurs de tous les âges; et des musiciens en général. Aucun n’est raillé, même pas le pauvre joueur de cor français perdu au milieu des rangs…

Une autre chose qui m’a appâtée, c’est la ressemblance entre le pitch de la série et la comédie musicale Mozart l’Opéra Rock, que j’adule au-delà des mots. MOR rendait Mozart excentrique mais sensiblement attachant, et au premier coup d’œil j’ai retrouvé ces traits en Rodrigo.

Mais c’est réellement APRES visionnage du pilot que j’ai compris que j’étais foutue. Je ne voulais regarder que le premier épisode, pour voir, vu que je venais de finir TLBD (article d’hier). Et en fait, j’ai avalé la moitié de la saison le premier soir…et le reste des DEUX saisons le lendemain matin…

MitJ m’a émue aux larmes tant de fois que je ne saurais m’expliquer. La musique me transporte souvent, voire carrément toujours, mais me retrouver au milieu de ces gens talentueux et merveilleux tous à leur manière, ça m’a…touchée, tout simplement.

Il n’y aussi aucun personnage que je n’ai pas aimé (sauf Edward). Hailey est parfaite de gaucherie; Thomas se lâche au fur et à mesure et devient un bienfaiteur étonnant; Cynthia est une femme qui force l’admiration; Gloria est succulente d’insécurité…

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Mais le personnage qui m’a le plus captivée, c’est bien sûr Rodrigo lui-même, notre Mikelangelo Loconte. :)

Je ne connaissais Gael García Bernal ni d’Ève ni d’Adam, mais c’est le casting du siècle. Personne d’autre n’aurait fonctionné. Il apporte cette fragilité à un personnage totalement…magnétique, et je n’ai pu que le fixer des yeux dans toutes ses scènes.

Plus que de l’attraction physique (parce qu’il est canon le mec, Latino aux yeux verts, nan mais attends!), c’est sa personnalité qui m’a harponnée… Shit. En fait, c’est impossible de ne pas tomber amoureuse de ce mec. Simple.

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Si je devais résumer MitJ, je dirais que c’est une série inventive et rafraichissante sur un univers méconnu des générations actuelles; avec des personnages parfaits; et un acteur principal qui devrait gagner ce foutu Golden Globe parce que rien que d’en parler j’ai la chair de poule…

Voilà.

challenge séries

Cette série fait partie de mon Challenge Séries 2016.



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