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Comment bien finir une bonne histoire

Publié le 21 janvier 2016 par Dangelsteph
Storytelling de fin

Bien finir un bon storytelling ? Il n’y a pas redondance, là ? 

Non. Car ce n’est pas de la façon d’écrire une bonne fin pour son histoire dont il s’agit. je me place après cette phase, indispensable mais pas suffisante. Donc voilà : le storytelling est conçu, il y a une fin, elle est bonne, mais il manque encore… le call to action.

Une histoire qui finit bien pour celui qui la conçoit et l’utilise ne l’est que si elle est orientée vers l’action de la part du public, de l’auditoire : un call, un appel à l’action est le complément incontournable.

Comment bien finir, donc, avec un bon call to action :

- Le plus basique des appels à l’action est le tout simple “en savoir plus”. Encore faut-il qu’il y ait quelque chose de valable derrière le “plus”…

- Donner un sentiment d’urgence : la limitation dans le temps donne évidemment l’impression bien réelle qu’il faut agir vite sous peine de perdre une opportunité

- Un call to action de type “Essayez” est une invitation à poursuivre l’aventure (l’histoire), gratuitement et sans risques

- Montrer que le temps passe : les aiguilles d’une horloge, un timer qui se rapproche inexorablement de l’heure fatidique sont plus évocateurs que n’importe quel assemblage de mots

- Obliger l’utilisateur à faire un effort : aussi paradoxal que cela puisse paraître à l’époque de “ce qui n’est pas immédiat est compliqué”, psychologiquement, si quelque chose nécessite un effort, cela a plus de valeur aux yeux de celui qui le fait

- Résoudre un problème : vous avez suggéré l’existence d’un problème bien réel et ressenti par votre public, votre call to action peut rebondir en indiquant que la solution est directement au bout du clic


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