Lorsque l’on parle de tennis, on ne peut pas vraiment dire que la dangerosité de ce sport revienne dans les débats. En effet, n’étant pas une discipline de contact, les blessures sont relativement rares sur un court, hormis des torsions ou des problèmes de dos. Néanmoins, tous les acteurs présents sur un court de tennis ne sont pas forcément logés à la même enseigne. Ainsi, les juges de ligne exercent un métier beaucoup plus dangereux qu’on ne pourrait le penser. Entre les brimades, la mauvaise humeur ou encore les attaques au corps de la balle jaune, les pauvres hommes de l’ombre sont en première ligne quant aux actions des joueurs de tennis. On a pu le voir ce matin avec le service à 195 km/h de Tomas Berdych qui a touché les parties intimes d’un juge de ligne. De ce fait, E-TV Sport vous présente plusieurs exemples qui démontrent que juge de ligne est le métier le plus risqué sur un court de tennis!
Attention aux aces
Le service à 195 km/h de Tomas Berdych arrive là où ça fait mal en quart de finale de l’Open d’Australie en 2016 face à Roger Federer.
« Headshot » au service de Mardy Fish face à Jo-Wilfried Tsonga lors du huitième de finale de Wimbledon 2012.
Des volées de bois vert
Serena Williams injure la juge de ligne suite à une faute de pied qui donne une balle de match à son adversaire, Kim Clijsters, lors de la finale de l’US Open 2009.
Le geste pas classe du tout de David Ferrer lors de l’Open d’Australie en 2014.
Victoria Azarenka s’en prend à la juge de ligne lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012.
Pas à l’abri d’un pétage de plombs
En juin 2012, l’Argentin David Nalbandian a été disqualifié en finale du Queen’s pour avoir donné un coup de pied sur un panneau publicitaire posé au pied d’un juge de ligne. Nalbandian venait juste de concéder son service lorsque, en regagnant son banc, il a violemment frappé du pied un panneau publicitaire posé autour de la chaise du juge de ligne de fond de court. La planche a elle-même heurté le juge de ligne qui a été légèrement blessé. L’homme est sorti du court avec une plaie à la jambe. L’Argentin a semblé immédiatement confus, mais ses excuses à sa victime n’ont pas empêché le superviseur de prononcer sa disqualification.
En bonus, le câlin de Marat Safin suite à un coup envoyé en pleine tronche de la part du Russe
&éà&post;