Parlons le libéral fauxcialiste dans le texte :
Il faut libérer les entreprises de leurs freins pour leur permettre de se développer, de créer des richesses, des emplois, ce qui permettra leur développement économique et le retour de la croissance. La seule voie possible est celle-ci, pour permettre la résorption de notre dette nationale, trop élevée. Pour cela, il convient de baisser les charges, les impôts, les cotisations patronales. Nous devons tout faire pour que les entreprises n’hésitent plus à recruter. La possibilité pour les employeurs de bénéficier d’une main d’œuvre flexible et adaptable aux carnets de commande est une nécessité. Plus les modalités d’emploi seront souples, plus les entreprises embaucheront. Préfère-t-on un marché du travail figé sur des règles anciennes avec un tel taux de chômage, inacceptable ? Où devons nous permettre aux entreprises d’embaucher et de débaucher en toute liberté, afin que chacun puisse accéder à l’emploi ? En cela, je suis socialiste.
F.H
Essayez vous aussi, vous verrez c’est facile. Aussi facile que de parler communiste, exploitation de l’homme par l’homme, partage des richesses, toussa… Le libéralisme est une idéologie qui se cache derrière un pseudo-pragmatisme de pacotille, vous dis-je. Comme ce patron socialiste, hier, nous l’a si concrètement démontré. Arrêtons de nous voiler la face. La guerre est idéologique, et si nous ne faisons rien pour les bloquer, ils sont déjà en train de gagner. Les vieilles méthodes ne suffisent plus. Ni les manifs ni les élections n’y changeront rien. L’heure des barricades a sonné. Vive la Commune !