La nature ne semble pas connaître la théorie du genre. Les relations sexuelles du mâle et de la femelle sont un affrontement dans lequel chacun veut faire prévaloir son intérêt. Et cela peut-être extrêmement cruel. Voilà ce que semblent dire les observations scientifiques.
N'y aurait-il pas un peu d'anthropomorphisme dans cette explication ? Ou, peut-être, attention à ne pas en tirer de conclusions hâtives ? Attention à ne pas confondre un modèle avec la réalité ?