Le minot d’or à l’ombre du Sphinx.

Quelle déception d’assister ainsi au travers des colonnes du Midi Libre, au naufrage de l’équipe municipale majoritaire. Le Sphinx et ses acolytes en tête des débats, criant au « putsch »!. N’aurait-il pas fallut qu’ils représentent l’état afin de pouvoir ainsi s’en émouvoir? A les lire, le seul état que l’on puisse leur reconnaître est celui de « grâce »,  ! Quant au louveteau fort de sa délégation « Es-anneaux des quilles » et de sa cuisante défaite aux Départementales. Il avait, cependant, bien commencé avec ses études de droit, pour finir tout de travers, quel dommage !. Bien qu’il n’aime pas la politique fiction, bien lui aurait pris de s’en intéresser, afin de ne pas vivre  ce revers magistral, à l’image d’une gifle que les sétois lui ont donnée lors du premier scrutin, refusant ainsi majoritairement ses propositions de politique Départementale. Il en roumégue encore le minot, tentant désespérément de briller dans l’ombre du Sphinx accroché à ses mandats cumulés de façon indécente. Bientôt le Cumulard hors cadre, devra quitter l’un de ses mandats. Imposé par la loi, il mettra ainsi un genou à terre et jettera une casquette. Quelle sera t-elle ? Celle de Maire afin de garder son immunité? Les paris vont bon train! Pour un Maire qui ne devait pas imposer plus ses concitoyens, il les met à l’amende, comme toujours,avec une hausse significative de  2.9% pour la taxe d’habitation et de 4.2 % pour la taxe foncière. Il parle bien sûr d’augmentation du taux de l’imposition afin de minorer, en clair cela représentera une hausse de plus de 17% de ce que les sétois payent aujourd’hui. Le Sphinx assure, « avoir joué avec tous les leviers possibles, en matière d’économie ». Il a omis de parler de la hausse de ses frais de bouche et des substantielles augmentations d’indemnités et de délégation accordées à sa cour depuis le début de son dernier mandat.

Nous ne pouvons que constater, une fois encore, une fois de plus que le Sénateur-Maire- Multi-Président aura brillé par ses mensonges électoraux.

Jean-Luc GREGOIRE.