C'est qu'on en voit des choses aujourd'hui, on en lit, comment ne pas penser aux victimes, comment ne pas pleurer de rage, comment ne pas avoir envie de les étrangler, ces faiseurs de pluie, ces faiseurs d'orage.
Ils sont là, ils nous gouvernent, ils jouent de nos vies, avec nos vies, ils organisent les attentats en pointant du doigt de pauvres crétins manipulés, achetés et lâches.
Ils disent :
- "ce sont les islamistes qui ont fait le coup"
Et d'autres crétins, ceux de la presse officielle, reprennent ces mêmes déclarations et s'interrogent comme des enfants, ils interrogent comme des enfants, ils posent des questions naïves à des "spécialistes", ces proctologues du terrorisme, qui fouillent du doigt dans des entrailles nauséeuses et qui nous expliquent, je ne sais qui, je ne sais quoi, qui enveloppent une vérité qui n'est pas factuelle, mais qu'ils nous imposent comme la vérité illusoire du mensonge d'état bien enveloppé par la presse dirigée, contrôlée, celle que d'autres appellent : "les Merdias".
Ainsi, « une nouvelle direction de l’information a été créée pour influencer les médias, avec un certain succès, révèle l’hebdomadaire britannique The Observer. Et, quand l’attaque a commencé (...), une marée de diplomates, de groupes de pression, de blogs… ont commencé à marteler une série de messages soigneusement élaborés. » Cheville ouvrière de cette machinerie, l’ex-ambassadeur aux Nations unies Dan Gillerman témoigne : « Je n’avais jamais vu (...) le ministère des Affaires étrangères, le ministère de la Défense, le bureau du Premier ministre, la police et l’armée travailler avec tant de coordination, d’efficacité[1]. »
C’était il y a 7 ans, au Liban, mais rien n’a changé, la manipulation reste intacte, il n’y a que notre regard qui s’est aiguisé à force de mensonges et de fourberies.
Mais, dans mon âme et conscience, moi, pauvre et misérable citoyen de France, petit Européen insignifiant, je ne parviens toujours pas à les croire, ces journalistes de boudoirs, je sais que celui qui tire les ficelles est un autre, je sais qu'il est plus proche de nous, je perçois de ses manigances, le faiseur qui manipule ces coupables assassins, enfin, il joue un double jeu, car, il est aussi dans la proximité de ceux qu’il condamne à mort, sans même les connaître.
Ce monstre ne voit en l’humain qu’un être nu et sans visage, sans famille, sans amour, sans rien, il voit un être anonyme et sans valeur dont il peut se défaire, c’est un vulgaire pion sur un échiquier géant, et des pions, il n’en manque pas.
Celui-là, plus coupable encore que celui qui pose sa bombe, je sais comment il s'appelle, vous le connaissez aussi bien que moi, c’est celui qui siège au-dessus de nos têtes avec sa langue si bien pendue qu’elle en devient venimeuse, dès que sa bave nous touche, elle est empoisonnée, fumeuse.
Personnellement, celui-là, je l’appelle : État, il pourrait se nommer autrement, Finance, ou je ne sais quoi, mais État lui convient si bien.
État de vie, État de mort, État de merde, « L’État c’est moi » disait Louis XIV, grand roi entre tous et fidèle amant, et lorsque l’on est celui-là, on connait la valeur d’aimer, ce que ne connaît pas l’État socialiste de ces deux crétins minuscules qui s’en amusent et qui nous enculent !
L’État, est celui qui condamnent ses soldats, celui qui crucifient ses enfants/citoyens au nom de la terreur et du pouvoir, et je sais que le vrai coupable, c'est celui-là.
« Plus le mensonge est gros, plus il passe » disait l’âme noire d’un certain Adolf, mais il a fait des petits cet Adolf, et même peut-être pire que lui.
La ficelle de l'islamisme commence à s'effiler entre ses doigts, elle se délite, part en morceau par bribes, comme le pseudo cerveau des attentats simultanés de Paris avait filé entre les mailles d’un filet troué, pour mener à cette nouvelle attaque, c’était le plan, la stratégie de… l’État.
Et dire que nous, citoyens/victimes, nous payons des impôts pour ça ?
Comment croire un seul instant que ce bistrotier alcoolique et trafiquant de stupéfiants fut non seulement un islamiste, mais un cerveau au Stade de France, au Bataclan ?
C’est une insulte à notre intelligence, à son intelligence, c’est une insulte aux victimes de ces crimes d’État avant d’être des victimes du terrorisme aveugle, car, rien, ni au Bataclan, ni à Bruxelles n’est aveugle, tout est clairement organisé, et derrière chaque attentat, ne se trouve ni Ben Laden, ni Salah, mais se trouve bien… l’État !
Nous vivons une époque formidiable
[1] http://www.monde-diplomatique.fr/2009/02/VIDAL/16774