Quant on écoute ce qui se passe au Venezuela ou au Brésil, en Amérique latine, on ne peut s'empêcher de penser que le pauvre n'a pour seul défenseur que le corrompu. Est-ce aussi simple que cela ?
Un ami me disait qu'il y avait quelque-chose de latin à Argenteuil. Même cause même effet ? Une certaine politique de gauche a pensé faire le bien collectif en investissant dans des installations publiques ? Les élus ont trouvé juste de profiter des masses d'argent qu'ils brassaient, et de l'enrichissement qu'ils pensaient créer ? Ils n'ont pas compris que ce qu'ils distribuaient venait d'une activité économique qui devait être entretenue ? Comme ces troisièmes générations de familles propriétaires d'entreprises, qui oublient d'où vient leur fortune ?