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Cette mesure intervient quelques heures après que la Cour européenne des droits de l'homme a statué que la détention du défenseur des droits humains Rassoul Djafarov, qui fait partie des prisonniers libérés, bafouait le droit international.
"La libération de 10 prisonniers d'opinion est toujours une bonne nouvelle, mais cette joie est tempérée par le fait qu'au moins huit autres sont toujours derrière les barreaux. Si cette mesure est positive, il convient de différer l'éloge des autorités azerbaïdjanaises, qui prendra tout son sens lorsque tous les détenus injustement incarcérés seront libres, et lorsque l'étau sur la société civile sera desserré", a déclaré Denis Krivosheev, directeur adjoint du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International.