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ANY (The party)

Publié le 31 mars 2016 par Mainsdoeuvres

Entre nouvelle lune et équinoxe en approche, entre fin de printemps et apogée de la fécondité de mère nature, des jeunes gens sémillants et subtils se retrouvent à Mains d’Œuvres, à l’occasion d’un moment festif de rencontres et de partages. La fête est ouverte parce qu’elle n’est pas ordonnée. La spontanéité en est un élément crucial. Le système de troc est préféré.


PROGRAMME :

Les artistes sont invités à expérimenter en live lors de cet événement consacré à la musique. Improvisées, liées à des projections, à la base d’une performance, ou encore générées par les publics présents, les créations sonores sont réalisées à la fois par des plasticiens qui intègrent le son dans leurs productions et par des musiciens qui flirtent avec un langage visuel.

The Night He Came Home
Composé de deux membres fondateurs, Arthur Beuvier (machines) et Corentin Canesson (guitare), The Night He Came Home, né en 2014, gravite autant dans le champ de la musique expérimentale que dans le domaine des arts visuels. Son approche de la musique aux références diverses (de Einstürzende Neubauten à Nicolas Jaar, en passant par Brian Eno).

CONDOR
New Beat, Cumbia, No Wave
label : CONSTERNATION
Le mythique groupe hollandais des années 90 revient aux manettes après 15 ans d’absence ! Pour ceux qui ont connu les clubs belges et la déferlante new beat de 1988, CONDOR est l’emblème du psycho beat, nouveau groove éphémère d’une époque bénie où l’acide régnait sur Bénélux.
Après deux singles légendaires « pull over up » (1986) et « Kro kro dice » (1987), CONDOR sombre dans l’oubli en 1992 après une tournée désastreuse en Amérique latine pendant laquelle ils perdront deux des membres fondateurs associés à la secte du « renouveau triangle ».
C’est donc avec un tout nouveau line-up que CONDOR revient : deux gros synthés 90, une basse grunge, deux ou trois boites à rythmes bien compressées soutenues par quelques percussions électroniques détunées, une MPC jouée à l’envers et un harmonizer de l’enfer pour enrober l’artillerie, CONDOR c’est chaud, c’est froid, hypnotique et paradoxal.
« On croirait entendre un DJ défoncé qui passe du new beat au dub africain pour se décider finalement à cutter avec de l’ acid house mais sans pouvoir s’empêcher d’y mettre un vocal de Rn’b égyptien » A.J / « Je me souviens plus de rien sauf d’avoir dansé et roulé des patins » P.H. / « - C’était vraiment trop moche. - ouais, trop beau ! - t’as raison c’est la même chose… » E.D et B.B.


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