La campagne publicitaire à ne surtout pas faire: le studycase Jacqueline Aïche!

C’est un débat vieux comme le monde dans notre landerneau publicitaire… de l’usage ou non de célébrités dans les campagnes de marque: pour certains, ils sont le gage d’une assurance de notoriété et d’empathie accélérées, pour ses détracteurs, le celeb endorsement c’est l’assurance de voir son image cannibalisée par la célébrité, et c’est surtout un cache-misère conceptuel (Nespresso – George Clooney – ‘Whatelse’ étant hors compet)

Chez Darkplanneur notre approche a toujours été beaucoup moins dogmatique, le celebrity endorsement pouvant même avoir quelques vertus pour nous, à partir du moment où marques et célébrités partagent les mêmes valeurs et le même mood…mais en ce qui concerne la marque du jour, la maison joaillière Jacqueline Aiche, l’erreur est fatale!

#Fatalerror1: la Nudité

Une stratégie tellement usitée par certaines maisons de joaillerie qu’elle nous renvoie à la fin des 1990’s et au début des 2000’s, l’ère de ce qu’on a appelé « la russification » du monde du luxe. Le nu se doit toujours d’être utilisé avec acuité, la frontière entre exercice d’esthète et représentation racoleuse étant très tenue…Pour le coup, on optera pour la 2e option avec Jacqueline Aiche.

#Fatalerror2: Emily Ratajkowski

Prendre la fille la plus hot du moment, peut comporter des avantages, mais aussi d’énormes risques, surtout lorsque celle – ci prend les traits d’Emily Ratajkowksi, bombshell absolue dont la beauté fatale est un elixir lethal pour le cerveau reptilien des mâles contemporains.
Au final, l’on comprend très bien l’ambition recherchée: faire buzzer, liker, générer de l’attention média… mais je défie quiconque de se souvenir du nom de la marque à la fin de cet article…
Ah oui, il s’agit de la marque Jacqueline Aiche, juste au cas où…!

#Fatalerror3 Buzz vs Style

Les bons top models, le bon photographe, le bon styliste… et parfois, la même idée peut-être autrement plus désirable: dans cette industrie complexe qu’est le Luxe, tout est d’abord affaire de bon goût, et de style!