Viber, une application appartenant au groupe japonais Rakuten qui revendique plus de 711 millions d'utilisateurs dans le monde, emboîte ainsi le pas à son concurrent WhatsApp, filiale de Facebook, qui a annoncé une telle mesure le 5 avril.
Le chiffrement des messages de bout en bout est censé empêcher quiconque, y compris le service de messagerie, d'accéder aux échanges. Ce renforcement de la sécurité est vertement critiqué par les forces de l'ordre, notamment aux États-Unis, qui estiment que cela aide les criminels et les terroristes à se coordonner.