Pourquoi je continue de tenir ce blog (parce que j'en ai un peu marre des fois), c'est parce que je trouve de temps à autre de ces petits instants de bonheur, de ces petites choses inaperçues dans le grand brouhaha du net, ces petits chocs émotionnels qui vous font dilater la pupille et fondre le cœur, juste d'innocents instantanés qui diffusent le plaisir d'être là, à flâner, perdre son temps, glaner ce qui, minuscule, est forcément beaucoup plus grand que pas mal de choses qui font trop de bruit. Merci à ce travailleur d'avoir fait revivre ce piano parmi cet entourage d'objets délaissés.