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C’est à la lueur de ce genre de papier (si on ose dire)
qu’on se rend compte que l’humanité est scindée en deux. Non
pas les pour/les contre la peine de mort ou ceux qui ont/n’ont pas une tortue
naine domestique. Non,
ceux qui lisent aux gogues et ceux qui pas. Précisons d’emblée que la
responsable de ces lignes n’emprunte jamais de livres à la bibliothèque à cause
de la première catégorie : sait-on jamais, si les précédents ont lu l’opus
aux chiottes, tu imagines le truc.