Lu ici :
"Les dirigeants de l'UE ont invité le premier ministre irlandais Brian Cowen à "présenter son analyse" de ce vote et à proposer des solutions lors du sommet européen de jeudi et vendredi à Bruxelles".
Les premiers éléments de l'analyse sont très simples :
- non veut dire non : l'Irlande ne veut pas du traité de Lisbonne;
- ce non n'est pas adressé au Premier ministre irlandais, mais à l'UE : c'est à elle d'analyser ce rejet;
- il n'y a pas de solutions à proposer : conformément au droit communautaire, le traité de Lisbonne est mort.