A 11h24, à la lecture de cette "colère" , j'ai apprécié que son auteure comprenne aussi physiquement que la dimension politique du cinéma ne se trouve pas tant dans le discours qu'il déploie que dans les conditions du regard qu'il pose.
A 11h24, à la lecture de cette "colère" , j'ai apprécié que son auteure comprenne aussi physiquement que la dimension politique du cinéma ne se trouve pas tant dans le discours qu'il déploie que dans les conditions du regard qu'il pose.