Considérée comme un art sacré par les anciens, la musique a toujours été reconnue pour ses vertus apaisantes. Depuis le début du XXe siècle, des études ont prouvé qu’elle pouvait même être utilisée à des fins thérapeutiques : on parle alors de musicothérapie.
Si les premiers à avoir bénéficié de la musicothérapie sont les soldats américains de la première guerre mondiale, cette méthode est aujourd’hui utilisée fréquemment pour atténuer l’anxiété et accroître le dynamisme. Son effet physiologique sur le système nerveux permet en effet de libérer des endorphines aux propriétés calmantes et euphorisantes. Pratiquée avec un thérapeute, l’écoute passive de mélodies ou la participation active à la partition permet d’obtenir des résultats appréciables auprès de patients atteints de symptômes cognitifs, psychomoteurs ou sociaux-affectifs.
Chez soi, l’écoute attentive de musique douce (hard rock s’abstenir) offre un moment de détente irremplaçable. Son CD préféré ou une musique classique constituent une première étape sur le chemin de la relaxation, mais les puristes préfèreront écouter de la bioacoustique. Cette utilisation musicale des sons de la nature (bruits d’eau, de vent, d’animaux…) plonge dans un état de relaxation incomparable. Musique Maestro !
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LES COMMENTAIRES (1)
posté le 10 août à 10:22
Pourquoi "Hard Rock s'abstenir". Le liberation d'endorphine n'est pas liee a la musique en elle meme, mais a la perception que l'on en a. Certain (y compris moi) trouve le metal relaxant, et m'aide a m'endormir. Les endorphines sont liberees quand la personne ecoute une musique qu'elle aime, pas necessairement calme. Une musique 'classique' ne me fera rien, alors qu'un metal symphonique me procureront un plaisir immense.
Merci.