Jack Steadman est chanteur, guitariste, pianiste et producteur du groupe de rock alternatif britannique Bombay Bicycle Club, qui avec son dernier album « So Long, See You Tomorrow » (2014) a atteint la 1ère place des classements d’albums au Royaume-Uni. Dans notre interview, Steadman nous parle de son expérience avec le logiciel Samplitude qu’il a utilisé pour la production.
Cet article ne comporte qu’un extrait de notre interview avec Jack Steadman. En lisant l’interview complète (en anglais), vous saurez comment il puise son inspiration et d’où proviennent les influences indiennes de son dernier album.
Votre dernier album « So Long, See You Tomorrow » (paru en 2014) a été enregistré et produit dans votre propre studio. Avez-vous dû faire face à certains défis ?
Lorsque nous avons enregistré l’album, je disposais pour la première fois de mon propre local. De plus, cela a été la première fois que je travaillais avec une véritable table de mixage, et non une table numérique. Mon nouveau studio était nettement plus petit, mais malgré tout bien équipé. Par ailleurs, la moitié de la pièce était remplie de vinyles, ce que je trouve très agréable pour travailler.
Pour quelle raison avez-vous décidé d’utiliser Samplitude ?
À partir de mes 15 ans, j’ai travaillé avec MAGIX Music Maker, mais avec l’expérience, j’ai eu envie de changer pour un logiciel plus complexe, ce qui est incroyablement passionnant.
Pour quels processus de la production de l’album avez-vous utilisé Samplitude et quelles fonctions sont pour vous particulièrement utiles ?
J’ai utilisé Samplitude pour toute la production, ainsi que pour le mixage et même pour la majeure partie de l’écriture. À vrai dire, je n’utilise d’autres logiciels que lorsque je souhaite travailler avec des boucles audio. Mais sur Samplitude, j’aime que le fonctionnement soit basé sur des objets et que des fondus soient automatiquement ajoutés lors du montage. Cela est pour moi très utile, car je coupe beaucoup lors de la création. La possibilité d’éditer individuellement les différents segments est également très utile, car elle permet de travailler de manière créative.
Lorsque l’on compare vos albums, on remarque quelques différences. Il semble que vous aimiez particulièrement l’expérimentation. Est-ce que vous vous considérez plutôt comme des musiciens analogiques ou numériques ?
C’est difficile à dire, mais je pense qu’à la fin de la journée, nous sommes un peu des deux.
Liens supplémentaires :
Pour lire l’interview complète avec Jack Steadman, vous pouvez visiter notre site Web Audio. Quel était le nom originel de Bombay Bicycle Club et quels samples de musique indienne devaient se trouver dans le dernier album ? Découvrez toutes les réponses ainsi que de nombreuses informations dans notre interview !
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