Magazine Société

La police à l’horreur…

Publié le 17 juin 2016 par Philippejandrok

paris Louvre (18).jpg

LA POLICE À L’HORREUR…

L’heure est venue de rendre hommage aux forces de l’ordre, soldats courageux du maintien et de la contingence du désordre, nos ministres et notre président ne cessent de les encourager dans les médias, les déclarations baveuses pleuvent comme pluie d’airain, il faut les pousser vers les barricades, les soldats mal aimés, l’ultime rempart entre eux, les puissants et le peuple, ils sont leur bouclier. M. Cazeneuve, ce ministre de trop, a remplacé le même qui portait un autre nom dans le précédent gouvernement, M.Guéant, même cruauté, même froideur mathématique et cruelle dans les actes atypiques, qui s’y frotte s’y pique, la justice de ce pays brille d’injustice, mais elle est avec eux, et le droit qu’ils bafouent pointe un doigt accusateur contre eux ; le ministre s’insurge devant ses pairs, il trouve scandaleux les placards « anti-flics » des manifestations, d’autant plus, humoristiques des manifestants envers sa police si respectable, si droite, si juste dans la terreur. Mais il ne voit aucun scandale lorsqu’un de ses employés fend le crâne d’un jeune ou brise le genou d’un vieux. Lui, le fils putatif de Joseph Fouché, qui vota la mort du roi, lui, comme le « mitrailleur de Lyon », qui se montra d’une profonde cruauté envers des citoyens jugés proscrits par le Comité de salut public, qui fut un briseur de grève, autant que de Vendéens et de Lyonnais :

  • « Le salut de la patrie vous appelle à Ville-Affranchie, partez, votre patriotisme nous répond de votre zèle et de la fermeté avec laquelle il faut opérer dans cette ville rebelle. » ou, pourrions-nous dire :
  • « Cazeneuve le salut de la République socialiste vous appelle à Paris, partez, votre patriotisme nous répond de votre zèle et de la fermeté avec laquelle il faut opérer dans cette ville rebelle. »

Comme l’histoire se répète soudain, mais si Fouché dans ses actes horribles ne souffrait d’aucune contrition, B. Cazeneuve le regard glacé est l’exact même serviteur de l’État. En effet, son double langage devrait permettre de comprendre ses véritables intentions qui sont celles de punir le plus sévèrement possible les citoyens/manifestants, agitateurs, les pacifistes aux idées révolutionnaires, les marcheurs tranquilles qui deviendront bientôt des marcheurs du Val  s’ils s’acharnent à arpenter la rue avec les drapeaux.

C’est qu’il les souhaiterait dormeurs, dans « un trou de verdure où chante une rivière,Accrochant follement aux herbes des haillonsD'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : soldat citoyen, « jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il les voudrait « étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. 

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature, berce-le chaudement : il a froid.

 Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit[1]»

Calme, endormi, le ministre de l’intérieur au service d’un gouvernement socialiste aurait très bien pu servir le précédent, la fonction n’appelle pas l’amour politique, mais l’amour exclusif de servir l’État, il n’est socialiste que par hasard et destin, mais peut-être les voudrait-il ainsi, les citoyens, c’est pour cette raison qu’il nous semble entendre résonner à nos oreilles  les ordres de saison au CRS en garnison :

- Soldats de l’État socialiste aujourd’hui, républicains demain, serviteurs de la nation souveraine, je vous ordonne de protéger les valeurs que sont les nôtres, vous êtes notre bras armé et vous avez tous les droits, l’État vous les confère ! Une balle en plein front, vous ne pouvez pas, mais des coups de matraque et des gaz à volonté ne vous gênez pas, pour les balles bientôt, même en civil, vous verrez, vous aurez tous les droits, fidèles serviteurs de l’État.

Le ministre de l’Intérieur est de ces hommes-là, c’est un serviteur de la République, de l’État, c’est pourquoi il laisse carte blanche à ses soldats, ils vont au combat contre les pacifistes qui arpentent les rues de Paris pour réclamer bon droit, que Valls, jamais ne leur accordera.

Dans les cortèges des groupes sombres, au centre desquels s’infiltrent des collègues de l’ombre. Couverts de noir, masqués tels des Ninjas, leur mission est claire, celle de détruire le sens même des manifestations en semant, comme les hordes d’Attila, les cadavres des ennemis de l’état sur le pavé. Et pour cela, elles sont aidées ces brigades secrètes, par le contrôle de l’information qui ne diffusera jamais sur les chaines nationales, dites chaines d’État, la vérité sur les agissements véritables des matraqueurs de la République.

Hier, en visionnant une vidéo, j’ai découvert avec horreur ce que vivent les citoyens qui ont ce courage d’élever la voix et de frapper du pied le pavé de la République pour réclamer le droit d’exister et de refuser le rôle d’esclave que leur préparent les socialistes au pouvoir ; ils sont malmenés de toutes parts, gazés à outrance, bombardés comme sous la mitraille de 14/18, les bombes sont projetées dans leur dos, sur leur tête, dans leurs nuques libérées de toute protection, elles leur pètent à la gueule, leur explosent dans les pieds, ils ne sont pas protégés par des armures que leurs impôts ont payées aux gladiateurs de M. Valls et Cazeneuve, ils ont même payé ce gaz qui les asphyxie, oh ! Comble de l’ironie. Des hommes et des femmes sont tombés, vomissant leurs viscères, d’autres perdent connaissance sur le parterre, mais le martyr commence à peine et voilà que les CRS en formation romaine, chargent des innocents et frappent avec une violence inouïe, les victimes suffocantes et pacifiques.

Parmi ces troupes, des policiers en civil, matraque télescopique en métal à la main qui frappent encore et ouvrent des crânes, dont le sang de la liberté se répand sur le sol dans la gerbe et la bile. Le voilà le courage, le voilà le travail des soldats de l’État ? Celui de massacrer le peuple, et c’est pour cela qu’ils sont épuisés ces criminels patentés, ceux qui ont le droit de massacrer, d’invalider, d’assassiner des citoyens en toute impunité ? Ce ne sont pas les victimes massacrées qui doivent être jugées, mais ceux qui ont ordonné, ceux qui poussent le peuple à se révolter à force d’injustice :

  • « Mon frère lui demanda compte du sang qu'il avait fait couler et lui reprocha sa conduite avec une telle énergie d'expression que Fouché était pâle et tremblant. Il balbutia quelques excuses et rejeta les mesures cruelles qu'il avait prises sur la dureté des circonstances. Robespierre lui répondit que rien ne pouvait justifier les cruautés dont il s'était rendu coupable; que Lyon, il est vrai, avait été en insurrection contre la Convention nationale, mais que ce n'était pas une raison pour faire mitrailler en masse des ennemis désarmés10. »

 Charlotte de RobespierreMémoires

N’est-ce pas ce que fait subir cet odieux gouvernement et sa police à nos citoyens ?

Certaines vidéos jamais diffusées sur le service public, prouvent à quel point ces brigades d’État assassinent des citoyens pacifiques sans la moindre raison. Les provocations systématiques des forces de l’ordre incitant à des affrontements avec les manifestants, en scindant les groupes soudés, en les coupant des groupes de tête pour les diviser et les charger en utilisant des méthodes guerrières ; quels choix laissent les forces de l’ordre aux manifestants qui ne peuvent s’enfuir nulle part, pas d’échappatoire ni devant ni derrière, puisque les rues sont bloquées par les mêmes forces de l’ordre, d’après nombre de témoignages ? La provocation est insupportable et prouve la volonté du gouvernement d’en découdre, pour systématiquement décrédibiliser les mouvements pacifiques, qui se transforment en pugilat forcé. Que fait un animal acculé à un mur ? Il défend sa vie comme il le peut. Que fait un manifestant acculé par les forces de l’ordre dont l’ordre est justement de les mettre en difficulté, il se défend légitimement, c’est de la légitime défense et il sera jugé pour sédition et agression de l’État ? 

Qui ne hurlerait pas de rage face à cette ordurerie ?

Ensuite, la presse d’État, complice, nous parle de casseurs et de dégâts, puis M. Valls et B. Cazeneuve viennent se plaindre des casseurs  ? Mais 150 blessés dont de très graves le 14 juin ne sont que des citoyens, pas des policiers, des CRS, des brigades d’intervention ? La faute à qui ? Aux casseurs ? Les CRS peuvent mater des milliers de supporters anglais ivres morts et violents, et pas un groupe de casseurs ? Et c’est la faute des citoyens et des syndicats, mais de qui se moque-t-il ce gouvernement ? Est-ce encore un gouvernement, celui qui se terre comme un rat à l’Élysée ? Ce jardin des enfers où seuls les héros et les gens vertueux goutent au repos après leur mort ? Mais où sont les héros, où sont les gens vertueux ? Certainement pas à l’Élysée.

Hollande le plus haï des présidents de la Ve république et son Premier ministre détesté comme le diable, se terrent, se cachent de la populace qu’ils foulent au pied depuis trop longtemps. Leurs actions ineffables, leur comportement méprisant, leurs mensonges perpétuels dans un mouvement insalubre, seront retenus par l’histoire.

Aujourd’hui, M. Valls ne peut plus se plaindre « que ça manque de Blancos » dans les rues de Paris à l’heure du 14 juin 2016, il se plaint même qu’il y en ait trop pour faire charger la troupe sur eux, pour dresser des guets-apens rondement menés sur le trajet des manifestants qui demandent le juste retrait d’une loi détestable. Valls a fait piéger les citoyens pour les entrainer là où le scandale doit avoir lieu, pour détourner les intentions, faut-il être pervers pour penser, pour agir ainsi ? Il a provoqué cette misérable attaque d’un hôpital pour enfant à dessin. Comme toutes les manipulations organisées par le pouvoir, pour dénigrer, auprès du peuple de France, les meilleures intentions qui soient, celle de faire triompher la Vérité du peuple, qui vaut mieux que celle des élites corrompues, et aux ordres des puissants qui dirigent la France à Bruxelles.

À force, M. Valls, finira par l’obtenir son Guernica contre ce peuple de France. Lui qui ne sait pas ce qu’il veut, mais comment donner à pareil individu les rennes d’un pays qui part à la dérive ? C’est qu’à force de prendre les citoyens pour plus bêtes qu’ils ne soient, il finira par s’écrouler ce gouvernement sous le poids de sa propre bêtise et de son insupportable arrogance.

Voici des témoignages qui invalident les thèses du gouvernement de M. Valls, ils sont si nombreux les citoyens, militants, curieux et passants à les avoir vécu, mais on entend que l’indécence odieuse des politiques pour s’offusquer contre une vitre cassée et peut-être même pas, par ceux que l’État point du doigt. Il parle de scandale, cet état, et met de côté la raison pure de ces débordements, les Lois Macron/El Khomery, se trouvent soudain remplacés par les malheurs de l’hôpital Necker ou ceux d’une Sophie imaginaire ? À nouveau, l’indécence prime sur la raison, la raison d’État baigne dans le mensonge absolu et ses représentants sont des traitres à la nation tout entière.

Ce qu’il s’est vraiment passé le 14 juin devant l’hôpital Necker

Récit de militants de la manifestation la plus violente de leur vie.

https://paris-luttes.info/ce-que-j-ai-vu-a-la-manifestation…

Témoignage d’une manifestante sur les affrontements au croisement boulevard du Montparnasse et rue de Sèvres et l’attitude d’une police violente et sans limites.

Des armées choisissent de bombarder les bâtiments identifiés comme hôpitaux pour atteindre leur cible. La police a choisi pour lieu d’affrontement, le croisement boulevard du Montparnasse et rue de Sèvres, exposant sciemment aux heurts la façade vitrée de l’hôpital Necker, acceptant, après réflexion le risque encouru par des patients et travailleur-eusses hospitaliers. Moi, j’y étais, manifestante, à plusieurs reprises, j’ai cru mourir d’étouffement.

Le canon à eau et son escorte de bleusaille caparaçonnée, avantageusement placée au carrefour, nous y attendaient en renfort de ceux qui nous harcelaient déjà de tous les côtés.

Leur plan :

- scinder le cortège de tête pour pouvoir y semer le chaos. Duroc a été élu point stratégique d’usage massif et disproportionné de gazage, grenades, tonfas, coups de boucliers, appuyés par le canon à eau.

Durant des dizaines de minutes : une séance de torture, beaucoup de blessées, le personnel de l’hôpital a accueilli ceux qui fuyaient l’affrontement, des camarades ont pissé le sang d’interminables minutes avant qu’on ait pu les secourir, d’autres vomissaient, suffoquaient, s’évanouissaient. Ça a bien résisté devant ! Déterminés et solidaires, la chaussée en est restée entièrement recouverte de projectiles sur une bonne longueur, avec nos traces de sang çà et là (en plus de celles sur les habitués). J’y ai vu un jeune « médic » se faire tabasser par la BAC, alors qu’il s’accroupissait pour porter secours, une fille, la côte apparemment cassée, étouffait sous les regards amusés des sadiques de la flicaille...

Évidemment, après libération, la suite (très longue) n’a pas été moins violente, les blessures encore plus graves, et les provocations incessantes...

Mais à Duroc, du fait du confinement et de la nature de la répression clairement punitive et explicitement sadique, à Duroc, j’ai cru mourir - et pas que moi. Comme prévu le suivisme médiatique s’enthousiasme, légitime leur résolution préméditée et assumée de punir et de terroriser - préférentiellement les plus jeunes.

Aucune attrition, aucune contrition pour les vitres. Je sais précisément que lutter contre l’ordre dominant, c’est s’exposer volontairement au péril et à la constante peur. Je sais précisément que l’ordre dominant est celui-là même qui expose les hôpitaux aux violences.

https://paris-luttes.info/affrontements-devant-l-hopital-61…

Au sujet des dégradations de l’hôpital Necker :

Coup de gueule d’une enragée

Les personnes qui instrumentalisent actuellement la souffrance vécue par les enfants malades et leurs familles, en accusant ce "casseur" d’avoir contribué à cette souffrance en brisant une vitre de l’hôpital ; vous me mettez en colère.

Vous, politiques, personnalités diverses ; vous aussi, M. Éric-Emmanuel Schmitt, avec votre récit dégoulinant de mièvrerie démagogue, qui avez sans doute vu dans cet événement un moyen de plébisciter votre œuvre.


Quand on a vécu la réalité d’un service d’oncologie pédiatrique avec son propre enfant, quand on a vécu le manque de moyens permanent, les "non, il n’y a plus de PQ, madame" ; il n’y a plus de patch antidouleur pour les piqûres du petit" ; "il n’y a plus de savon" ; "essayez de ne pas faire traîner de nourriture dans la cuisine : il y a des blattes" ; "on ne sait pas qui va s’occuper de la chimio, il va peut-être falloir rentrer chez vous" ; "non, la télé ne marche plus" ; "on n’a plus de poches de sang" ; "on ne trouve pas de thermomètre" ; quand on a vécu les rendez-vous qui n’arrivent jamais, les décalages d’emploi du temps d’un personnel submergé, les opérations repoussées, les revendications et la mauvaise humeur des infirmières épuisées, les perfusions posées à la va-vite un peu brutalement à cause de la fatigue, le plateau-repas écœurant proposé à un enfant qui ne pèse déjà plus que 28kg...

Eh bien ce n’est pas une dégradation ponctuelle que l’on condamne !
On se fout de quelques vitres cassées !
On comprend la colère qui déborde, même, dans ce climat ou plus personne n’est entendu, où seule la rentabilité compte.

Oui, casser les vitres d’un hôpital, c’est stupide. Mais c’est tout un système qui se fourvoie en permanence dans ses choix et ses priorités qu’il faut contester. La casse matérielle ponctuelle se voit davantage, surtout à la télévision, mais seulement de l’extérieur. Et seulement quelques jours.
Le reste de l’année, tout le système se charge de plomber la vie des familles confrontées à la maladie en préférant investir dans d’autres secteurs plus rentables.

Et c’est seulement l’entourage, le personnel hospitalier qui fait de son mieux avec un budget toujours en berne et des heures supp. à n’en plus finir, qui sauve tout ça et permet de tenir.


Toute cette démagogie, cette récupération médiatique et politique dégoulinant de faux bons sentiments, c’est indécent…

_________________

C’est ce gouvernement, ces ministres, le Premier et son président qui sont indécents dans cette situation qui s’apparente à une guerre civile qu’ils ont eux-mêmes déclenchée à force d’abus de pouvoir et d’humiliation du peuple.

"Le Sénat, 4 ou 5 jours par mois pour... 11 350 euros net mensuels" Le journaliste Yvan Stefanovitch publie une violente charge contre la Haute Assemblée. Gérard Larcher annonce qu'il le poursuit en diffamation[2] » titre le journal Le Point ; 24 RSA par mois et par sénateur, vous rendez-vous compte ? il n’y a qu’un seul mot qui me vient à l’esprit : INDÉCENT !

Mais comme le disait un sénateur : « il ne faut pas publier ce type d’information, le peuple ne pourrait pas comprendre. »

Mais que voulez-vous, c’est cela l’oligarchie en France, les privilèges ravis aux aristocrates passés sous la lame de la guillotine, pour que d’odieux bourgeois se substituent à eux, en opprimant toujours le peuple. Et ce sont les mêmes qui ne supportent pas l’idée que le peuple réclame le droit de choisir son destin sans avoir à obéir bêtement à des ordres et à des lois imbéciles, faites pour réduire les pauvres à la précarité et les riches à la sécurité.

Et toujours entretenus par les pauvres, car il faut l’admettre à présent, les vrais parasites du système, ce ne sont pas les bénéficiaires des minimas sociaux, 456 euros par mois, ce sont les autres, ceux, cités ci-dessus et les députés, et les ministres, et tous les fonctionnaires de l’État.

Laurel et Hardy s’acharnent à vouloir croire que les citoyens sont des idiots obéissants, sans vouloir accepter que les Français veuillent reprendre leur destin et ne plus le laisser aux mains de mythomanes toxiques, qui ruinent et qui pillent ce pays en rendant le peuple responsable de leurs méfaits ?

Mais, les temps ont changé, les temps changent, il faut que l’Oligarchie apprenne enfin que le moment est arrivé de passer le témoin à une nouvelle démocratie, celle qu’elle aurait toujours dû être, celle du peuple et des citoyens de France.

Nous vivons une époque formidiable.

[2] http://www.lepoint.fr/politique/stefanovitch-le-senat-4-ou-5-jours-par-mois-pour-11-350-euros-net-mensuels-17-06-2016-2047403_20.php?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&link_time=1466141316#xtor=CS1-31-[Echobox]


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Philippejandrok 11422 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine