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Affaires: La relativité d’un sou

Publié le 22 juin 2016 par Raymond Viger

Si j’achète une automobile une fois à chaque quatre années, que je paye 1000$ trop cher, c’est même pas grave.

Mais si j’achète un produit à mille exemplaires à tous les jours pour le vendre avec profit et que je paye un sou de trop, cela est un crime envers mon entreprise.

Parce qu’un sou pour 1000 exemplaires, représente 100$ par jour, ce qui équivaut à 3650$ par année. Pour les 4 années que j’aurais mon automobile, j’en suis rendu à 14 600$ de trop payé.

Si un certain matin, j’ai quelques heures à investir pour augmenter la qualité de mes achats est-ce que je vais me concentrer sur le 1000$ que je peux épargner sur l’achat aux quatre années d’une automobile ou est-ce que je devrais réfléchir sur ce sou que peux sauver à tous les jours sur les 1000 exemplaires d’un produit que j’achète.

En plus on attire ce que l’on est, ce que l’on dégage. Parce qu’épargner un sou devient important pour moi, le représentant de ce produit viendra possiblement m’offrir des escomptes d’un sou de temps à autre pour me conserver heureux. Il saura que c’est significatif pour moi et que je vais apprécier ses propositions. Je vais pouvoir le considérer comme un partenaire dans notre relation d’affaire.

Soyez paranoïaque avec vos cennes!

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