Si vous voulez souscrire une assurance-vie, vous devrez transmettre les informations nécessaires sur vous-même et votre style de vie à l’assureur. L’important à ce moment-là est d’être honnête et de ne pas cacher d’informations car les conséquences pourraient être impitoyables.
La prime pour votre couverture dépendra de plusieurs critères, aussi appelés critères de segmentation dans le jargon. Dans le cas d’une assurance-décès, il s’agira notamment de votre âge, de votre état de santé et de votre style de vie.
Pour que l’assureur puisse calculer correctement votre prime, vous devrez lui communiquer les informations nécessaires. Cela se fera sous la forme d’un questionnaire (médical), complété éventuellement par une visite chez un médecin. L’assureur essaiera ainsi de rassembler toutes les informations nécessaires pour évaluer correctement votre risque.
L’important dans ce cas est que vous soyez honnête et ne cachiez pas d’informations, par exemple en ce qui concerne votre santé. Pensez ainsi à une maladie dont vous souffrez, à une opération ou au fait que vous fumiez. Le fait de cacher intentionnellement certaines informations vous permettra certes dans un premier temps de bénéficier d’une prime moins élevée, mais pourra aussi à terme vous valoir de sérieux problèmes. S’il apparaît par exemple à votre décès que votre mort est due à une longue maladie que vous avez tue à la conclusion de la police, l’assureur pourra refuser de verser le capital assuré et vos bénéficiaires ne recevront pas un euro. Les noms des clients d’assureurs qui se rendent coupables d’une fraude à l’assurance sont par ailleurs enregistrés dans un fichier central et des poursuites sont également possibles.
En résumé, mieux vaut toujours être honnête au moment de souscrire une assurance-vie.
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