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Revue du web : ce qu’il ne fallait pas louper cette semaine

Publié le 16 septembre 2016 par Iprotego @iProtego

La team iProtego vous proposera désormais un petit tour d’horizon hebdomadaire des news qui ont animé le web chaque semaine.

linkNYC
On commence avec le scandale des bornes Wifi à New York. Pour rappel, des tablettes publiques (du nom de LinkNYC) avaient été installées dans la mégalopole pour permettre une connexion Internet en libre accès. Petit détail gênant : les usagers en ont vite profité pour y consulter du contenu (photos et vidéo) à caractère pornographique ! Le retrait des tablettes a aussitôt été effectué. Une boulette qui aura coûté près de 200 millions de dollars.

De façon plus globale maintenant, une nouvelle fonctionnalité de Google Maps devrait voir le jour très prochainement (déjà dispo auprès de quelques usagers) : la limitation de vitesse qui vous permettra de connaître la vitesse max autorisée des routes que vous compterez emprunter pour vos trajets.

google-maps

Au niveau des réseaux sociaux, on ne pourra aborder cette rubrique sans parler de Youtube, devenu véritable réseau à part entière. Qu’est ce qui change concrètement ? La création d’une véritable communauté d’usagers : publication de posts, notification lors d’une nouvelle publication sont entre autres deux des fonctionnalités au programme et typiques des réseaux sociaux.

Un point de vue juridique cette fois-ci : une jeune autrichienne tout juste majeure a attaqué en justice ses propres parents pour des photos d’elles publiées sur Facebook. Invoquant le droit à l’image, la jeune fille se sentant humiliée par des photos en ligne d’elle étant enfant a lancé l’affaire qui donnera lieu à un procès en Novembre prochain. Affaire à suivre.

lien-hypertexte

On terminera cette chronique par un autre point législatif qui fait polémique : la Commission Européenne a fait part à travers son projet de loi de son souhait de taxer les liens hypertextes au nom du droit d’auteur. Concrètement, ce sont les backlinks externes pointant vers des publications de presse et comprenant des données de la page cible qui seraient concernés. Une loi perçue comme rétrograde voire dangereuse et contre-productive par beaucoup. Si bien qu’un site dédié, Save the Link, a été lancé pour expliquer les dangers de cette loi et propose même une pétition contre le projet de loi.Sûrement peu de chances que celle-ci entre en application, si l’on examine l’enjeu qu’une telle loi exercerait sur les géants du web comme Facebook, Twitter et bien entendu Google.


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