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Miss Peregrine’s Home for Peculiar Children (Ciné)

Publié le 11 octobre 2016 par Bigreblog

Hello les Nautes!

Je suis vraiment fière d’avoir enfin pallié mon spleen et d’être revenue sur le blog. Ça fait du bien à l’âme d’écrire pour vos frimousses en icônes.

😛

Hier, je suis donc enfin allée poser mon séant devant le nouveau Tim Burton, en bonne fan que je suis. Un Burton avec Eva Green dedans (qui n’est cependant pas la vedette), et qui est adapté d’un roman pour enfants. Le combo.

😀

Et je commencerai cette review en vous annonçant que revoir des films en VF après avoir été habituée pendant un an aux joies de la VO, ça fait très mal…

😥

Pas de spoilers!

Jake est un adolescent comme les autres qui se morfond comme les autres. Jusqu’au soir fatidique où son grand-père Abe se fait attaquer par d’étranges créatures et décède, de drôles de paroles sur les lèvres. « Trouve l’oiseau et entre dans la boucle, » dit-il. Jake se souvient alors des histoires que son grand-père lui racontait quand il était petit: des histoires sur un foyer pour enfants spéciaux, caché sur une ile au Pays de Galles. Sa directrice? Une certaine Miss Peregrine

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Je débuterai donc en critiquant quelque peu le scénario. Je n’ai pas lu le(s) roman(s) (je devrais corriger cela d’ici peu) mais je suis persuadée que certaines choses y étaient mieux expliquées. L’existence des fameuses boucles n’est pas expliquée dans le film, pas plus que certaines ellipses parfois fortement…convenient?

Qu’à cela ne tienne, malgré un scénario dont les faiblesses ne tiennent qu’au support de base (dur dur d’adapter des romans de nos jours!), Miss Peregrine est un film agréable, très agréable à regarder, car moins sombre dans le jeu des couleurs que ce à quoi Mr Burton nous a habitués. Et également dans le postulat qu’il a fait de vraiment centrer son récit sur Jake.

(Bande-annonce mensongères bonsoir!)

Oui, car la Miss Peregrine en question n’est finalement que très peu présente à l’écran, même si elle en mange une sacrée partie à chaque apparition, mais je vais y revenir. Le véritable héros de l’histoire c’est le petit Jake, et là encore, Tim ne s’est pas trompé de casting.

😉

On en parle?

Jake est donc incarné par Asa Butterfield, que vous aurez déjà rencontré dans Nanny McPhee et le Big Bang ou encore Ender’s Game. Les vrais le reconnaitront en Baby Mordred dans Merlin.❤ Et le moins qu’on puisse dire c’est que le moucheron a bien grandi!

😉

Miss Alma Peregrine est quant à elle bien entendu interprétée par Eva Green, mon aimée, qui a fait un travail merveilleux sur ce personnage pour apparaitre très animale à l’écran. Peregrine se change après tout en oiseau (je ne spoile rien, voir bande-annonce plus bas), et les costumiers et maquilleurs sur le tournage ont vraiment tout fait pour que ça se voie sur la femme et c’est juste bluffant!

😀

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Je répète donc pour ceux dans la salle qui n’aiment pas Miss Green (honte sur vous mais bref et je te fixe sur regard, Chettebi!) qu’on ne la voit pas tant que ça et que de toute façon son personnage est génial.

😛

Parmi les autres, je citerai Chris O’Dowd dans le rôle du père ornithophile mais pas très fute-fute; Mister Terrance Stamp en Grand-Père Abe; Dame Judi Dench, ou encore Samuel L. Jackson parce que je pense qu’on ne peut pas passer à côté…

😄

Bref de bref, Miss Peregrine est un film qui souffre certes d’une adaptation parfois simpliste de son support de base, mais qui est une vraie pépite visuelle et qui me conforte dans l’idée que mon Tim adoré est revenu d’entre les limbes où l’avait laissé l’immonde Dark Shadows

😉

Note: 7,25/10 (scénario: 5/10 (peut mieux faire)jeu: 8/10BO: 8/10 (dont une scène juste magnifique et surréaliste sur de l’électro contemporaine)burtonisme: 8/10)

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