Magazine Société
Jean Frédéric sait pertinemment que la probabilité de gagner les primaires à droite suit une loi de Poisson (loi des événements rares). Ça tombe bien, il se nomme poisson comme le symbole des chrétiens dont il revendique le flan beau puisqu’il sait si bien parler d’œufs ! Il n’a rien à perdre et tout à gagner face aux rivaux dont les poids sont ad hoc avec la notoriété réfléchie par les sondages. Donc, ce jeudi 13 octobre, Jean Frédéric Poisson, président du Parti Chrétien Démocrate (PCD), a profité de l’occasion pour exposer sa ligne politique, sens des filets ! Il a pu déclamer, sans que cela fasse marée, toutes les notes écrites sur ces tablettes (sur sept ablettes ?) Le député des Yvelines, étant dans son beau droit, a mis en garde sur une éventuelle suppression des 35 heures : « Pour certains patrons, les 35 heures c’est l’excellent choix (Selleck cèle l’anchois ?) et il ne faut pas systématiquement agiter le retour aux 39 heures en célèbre hochet (Anse hait les brochets). Il n’est pas très chaud pour qu’on mette à la raie le port du burkini ! Je suis pour la liberté religieuse et ne lancerai pas le « bon débarras » qu’eut David (bons, des barracudas vides ?) en voyant partir les Jébusiens ! Je respecte la loi de 1905 qui garantit la liberté religieuse et n’agiterai en aucun cas billot ! Interdire c’est faire l’écart laid ! L’Etat doit respecter la liberté de s’exprimer ! Toi, Français, tu n’imagines pas des censeurs en Guillotin (anguille au thym ?) coupant la tête de la laïcité tout comme tu n’envisagerais pas questure jonchant tes biens (qu’esturgeons chantaient bien ?) pour te spolier !
Le proche de Christine Boutin (dont il dit qu’elle a changé son parcours et a provoqué en lui une mue reine) n’est pas venu pour laisser le stylo sous capuchon (sous cape, huchon ?). Il a pris des notes de ce qu’avançaient les concurrents aux trois quarts pédants (Oh, trois carpes aidant ?) et qui ne lui tendaient pas la perche après avoir leurs arguties amères lu. Il a, en ce lieu, senti venir la faconde : les mots ruent, sans ombre. Il les voit enfler tant ! La dent s’aiguise, se forme accroc (ce fort maquereau ?) et il se dit : lançons-nous, encore et encore, pour leur mettre la pression (qui se mesure en bars). On a plusieurs épines au choix avec lui (épinoches oient avec l’ouïe ?). Il critique la droite au pouvoir bégayant dans ce radeau radotant (dansera dorade autant ?) du sarkozysme ! - Le gouvernement de Nicolas se disait cas peu lent mais il n’a fait qu’aménager (même si l’âme hait nager) des pauses, dans les projets que conduisait l’homme de Corrèze, ce congre à Tulle ! Moi je n’ai pas participé à ses renoncements afin que mon discours pas jauni soit (pageot niçois ?). La gauche roule bizarrement et les roues gênantes effraient (les rougets nantais…frais ?) si loin de la magie reléguée (là, ma girelle est gay) dans les abysses. Il ne faut plus avance pleutre mais rouler corsaire (mérou laid, corse, erre).
Il profite de sa participation à la primaire. Une opportunité qui lui a été offerte, selon Arlette Chabot, car son parti est allié au parti Les Républicains. Il n’a pas eu besoin de récolter les parrainages concédés par des maires lents et qui ont bloqué la route d’autres prétendants (ça ne fait pas l’ombre d’un pli), comme Hervé Mariton, (thon marri), député de la Drôme, ou Nadine Morano, député européenne. Nadine gronde un peu sous son nez perlant de sueur mais, gardons-nous bien d’évoquer la tant chagrinée (la tanche à gris nez ?) qui traverse comme un désert du gobie pour revenir à Poisson. Au long du débat, on a pu se demander si l’homme, sans délit mandaté (sent des limandes athées ?), ne virait pas à gauche. En réalité, il se dit catholique social, si proche de Boutin, à un demi-rang d’elle (Ahun : deux mirandelles ?). Il se méfie des dérives de la mondialisation qui fait dans la casse des emplois : - Pourquoi faudrait-il que j’opérasse casse (que Jo paie rascasses !), lance-t-il, contrit ? En vérité, je vous le dis : je suis plus à gauche que Macron tant l’aigle feint l’appartenance à la rose. Lors de cette primaire, il est le seul à défendre l’abrogation du mariage pour tous vu « qu’à cette occasion la famille traditionnelle a été des truites", lui qui l’adora débonnaire (la dorade hait bon air !). Pour un peu il aurait battu le pavé d’Hespe à Don, de l’Allemagne à la France, pour raviver la Manif pour tous et l’urgence à baisser les avortements ! Il veut, en quelque sorte, l’IVG dans ses pas tacler (dansez pataclets !) Puis il s’emporte contre l’islam dont les déclinaisons sociales et politiques se heurtent avec notre valeur républicaine, voire l’ôte (alarme a niaque !) L’homme évite de terminer ses démonstrations en queue de poisson et d’accumuler les casseroles, contrairement à un petit nerveux qui les emmagasinent autant que SEB a stocké (sébastes au quai ?). Il a une flopée de propositions à formuler : s’abat liste ! Cet ancien DRH dans une entreprise de métallurgie n’hésite pas à brandir la bible dans l’hémicycle ne daignant pas faire la part des choses entre législation et religion, en les séparant (en lait : ceps, harengs ? Faudrait que j’essaie la recette !). Il plaide l’humanisme jusqu’au cœur des cités si l’urbanisme est à pleurer (silure bannie s’met à pleurer ?) Et comme l’heureux qu’un marc tôt égaie (le requin marteau est gay ?), Poisson se réjouit d’être dans ces primaires (danse et prie mer ! Alléluia !). Ces rivaux cherchent encore sa motivation.
Ses véritables intentions se sont dissimulées, se sont dit six mulets !