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Gauche : la machine à salir et mentir tourne à plein régime

Publié le 26 octobre 2016 par Delanopolis
Votre nouveau Pot-aux-Roses ! Gauche : la machine à salir et mentir tourne à plein régime 1 – Forte hausse du chômage depuis trois mois !

Alors que la presse servile claironne partout que la situation de l’emploi s’améliore et va permettre à Mou-Président de se représenter, il suffit de se référer aux chiffres non retraités ou bidonnés diffusés par Pôle emploi pour mesurer la réalité de cette soi-disant réussite.

En juin 2016, il y avait 6 015 600 personnes inscrites dans une des catégories de chômeurs (A à E), en juillet ce nombre est passé à 5 965 200, en août il est remonté à 6 099 550 et en septembre à 6 231 240. Bref, durant les trois derniers mois, si l’on veut bien dissiper l’enfumage gouvernemental et considérer les emplois temporaires quasi entièrement subventionnés comme du chômage déguisé, le sous-emploi a progressé de 4, 45 %.

Si l’on se réfère maintenant à mai 2012, ces pauvres victimes n’étaient alors que 4 888 260, soit une hausse « flanbienne » de 27, 47 % depuis le début du mandat présidentiel. Quelle belle inversion de courbe …

Vas-y François, présente ta candidature qu’on rigole un peu !


2 - Ils ont idéologiquement tort mais ils sont médiatiquement majoritaires

L’angélisme xénophile, la repentance érigée en système de pensée, l’incompréhension radicale de la manière dont la société crée de la richesse, l’aveuglement sur l’incompatibilité entre islam et droits de l’homme : sur tous les sujets essentiels du débat public en ce premier quart du vingt et unième siècle, les erreurs de la gauche éclatent au grand jour.

Faute de maîtres à penser capables de pimenter son fonds de sauce idéologique, la gauche fait donc désormais aboyer ses roquets des médias. Les Etats-Unis avaient autrefois une bonne dizaine d’années d’avance sur nous en politique. Aujourd’hui, après un pilonnage incessant des journalistes, les Américains s’apprêteraient à voter pour Hillary Clinton, dont le programme économique contient toutes les fadaises qui ont permis à François Hollande d’être élu en France en 2012. Un égalitarisme verbeux noyé dans des mesures techniques dissimule mal la volonté d’une petite caste démocrate de continuer à se nourrir sur la bête.

Les révélations de Wikileaks sur le copinage entre les journalistes et la candidate de l’establishment ou les turpitudes de la fondation Clinton sont infiniment moins claironnées, naturellement, que des propos graveleux de Trump enregistrés à son insu il y a onze ans par un interlocuteur qui l’a sciemment amené sur ce terrain glissant alors qu’à l’époque il n’était pas question pour l’homme d’affaires de concourir pour occuper la Maison blanche. La conversation est divulguée au bon moment, sans provoquer la suspicion de quiconque.

Il fallait une double page au New York Times, en 1992, pour rapporter tous les scandales financiers qui entouraient déjà les Clinton. En 2016, ce même journal appelle à voter pour Hillary ! D’après une étude du Washington Post rapportée par le Figaro, 1,64 % des articles de presse consacrés aux élections sont pro-Trump, 80 % pro-Clinton et le reste neutre ou favorable à un candidat tiers. Bref, il y a plus de quarante fois plus de prises de positions en faveur de la démocrate qu’en faveur du républicain !

Trump est là-bas une véritable tête de Turc, un exutoire des angoisses des diplômés du supérieur en voie de prolétarisation lente qui se raccrochent à l’Etat et aux systèmes socialisés pour se rassurer. On appelle ces gens des bobos.

En France, il n’est pas un jour ou presque sans que Libération ne narre avec effroi les faits et gestes de ce monstre d’Amérique.
Mais nos bobos ont aussi de quoi se mettre sous la dent dans leur propre pays. La manière dont l’Obs a détourné les propos de Sarkozy sur son électorat de « ploucs », sans préciser qu’il parlait justement de la façon dont les journalistes les perçoivent, est un nouvel exemple de manipulation de sens et de discours. La machine à salir fonctionne à plein régime. Faute de produire des idées ou des candidats à même de les défendre, la gauche médiatique entend au moins choisir qui, dans le camp d’en face, aura le droit d’accéder au pouvoir sous la réserve de ne pas toucher à ses intérêts.

Ils ont donc adoubé Alain Juppé, qui ne fera, pensent-ils, de mal à personne, c’est-à-dire qu’il ne les gênera pas eux-mêmes. Il repoussera lentement, très lentement, l’âge de départ à la retraite afin de permettre à tous ceux déjà pensionnés, qui votent massivement, de faire travailler plus longtemps les autres. Il demandera aux musulmans d’adhérer à une sorte de concordat « light » où il ne sera question que de prêcher en français mais certainement pas de renoncer à la charia.

Il pacifiera, c’est-à-dire qu’il ne troublera pas. France apaisée commence par soi-même, comme en 2012.

Si d’aventure les nouveaux prête-noms de la gauche médiatique l’emportaient, on pourrait d’ores et déjà se préparer à une extrême dureté du combat politique quand ils échoueront eux-aussi. La machine à salir finira par exploser au nez de ceux qui l’actionnent.


3 – Bercy qui ?

Les contribuables peuvent être rassurés sur la manière dont les ministricules qui hantent les couloirs Bercy utilisent leur argent.
On a ainsi appris cette semaine que la secrétaire d'Etat au Commerce, l’illustre Martine Pinville, dont un français sur mille doit connaître l’existence mais qui est « proche du président de la République » nous dit le Figaro, a reçu hier 25 octobre 2016, à Bercy une dizaine de ministres et parlementaires « hollandais ». Parmi eux, Stéphane Le Foll (Agriculture), Michel Sapin (Finances), Marisol Touraine (Santé), Patrick Kanner (Ville), Christian Eckert (Budget) et Ségolène Neuville (Personnes handicapées). Se sont joints à eux le président du groupe PS à l'Assemblée Bruno Le Roux et celui du Sénat Didier Guillaume. L'objectif de ce déjeuner était «d'avoir un échange politique sur la situation».

Sur le sujet du commerce, sinistré par la réputation dégradée de la France, notamment de Paris, tous ces gens avaient certainement beaucoup à dire lors de ces agapes à nos frais.


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