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Face au #PIR, jusqu’à l’e-monde ? Vive le débat #racialisme

Publié le 26 octobre 2016 par Mister Gdec

Et soudain, face au PIR, au détour d’une page, perdu dans l’Internet, j’aperçois de la lumière…

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Comme cela fait du bien, de se sentir moins seul, et de voir aussi clairement exprimé ce qui était quelques secondes auparavant si confus, inconscient, enfoui… Pouvoir s’appuyer sur ce que l’on avait tant de mal autrefois à définir, ce malaise devant l’insoutenable. Car se dire et se ressentir si profondément antiraciste, presqu’ antifasciste à un poil de cheveu près (encore tant de travail de déconstruction sur moi…  jusqu’à mon dernier souffle, probablement),  et se voir taxé si violemment, et à plusieurs reprises, de raciste, de « racisé » (cette expression horrible que je rejette absolument), de colonisateur, de dominant, jusqu’à se voir interdire de penser et même de s’intéresser à l’antiracisme parce que l’on est blanc (« pourquoi cet antiracisme obsessionnel ? », comme me l’a renvoyé Assbague, cette « penseuse » « antiraciste » en mal de reconnaissance financière pour élus de droite, voilà qui a fini de me navrer. Le PIR est derrière moi. Plus aucun compte à rendre aux porteurs qui parlent comme des livres de cette non-pensée faussement intellectualisante et si désespérément desséchante qu’elle en nie l’humain derrière le concept,  creux de surcroît. Car oui, le chat noir, que je sois émeutier ou pas, oui les autres révolutionnaires réunis autour de ce texte de débat si intéressant auquel je souhaite participer à ma manière, seul dans mon petit coin du haut de ma tour d’ivoire (rires…. ceux qui savent comprendront), cette remise à plat de concepts jamais questionnés est urgente et terriblement nécessaire.

Mais quant à moi,  j’ai déjà choisi mon camp, très clairement, et cela notamment depuis que j’ai pris connaissance de ce texte en effet immonde. Cet anti-racisme re-racialisant n’est pas le mien : il pue le vomi qu’il prétend combattre, et cela est en effet d’autant plus désolant qu’il se propage comme cela est souligné dans ce texte,  dans les endroits les plus gauchistes et libertaires comme un virus contre lequel il n’existe pas, seul dans son coin, de réel antidote. Mais vous avez eu au moins le mérite d’en isoler le principe actif : observons là ensemble, et débattons, vous avez raison. J’attends.

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