Mon antépénultième billet d’une trop longue série sur cette saloperie d’état d’urgence titrait déjà plutôt fort. je vais avoir bien du mal cette fois à dépasser cette outrance exponentielle. Cette loi d’exception devient en effet d’une banalisation volontaire plus qu’affligeante et d’un cynisme absolu. Mais chez ces gens là, visiblement, on ne se lasse pas de se payer de bons mots :
sourceProtéger la démocratie en la supprimant, Manu Militari, vraiment ? L’illustration parfaite de la sagesse populaire : les cons, ça ose tout. Surtout le pire. Trouver sans cesse, en permanence, sans jamais voir la fin de ce trop long tunnel irrespirable pour ceux qui n’ont rien à se reprocher, mais qui voient pourtant bien diminuer leurs libertés fondamentales s’atrophier, voilà qui signe l’arrêt de mort de la crédibilité politique de ce pseudo socialisme là, qui ressemble bien fort et de plus en plus à de la droite autoritaire. Marre de cette ambiguïté permanente. Vivement qu’ils dégagent. Les choses seront plus claires.